Originede l’expression « toute vérité n’est pas bonne à dire » Expression proverbiale du XV ème siècle qui a pris tout son sens au moment de faire des reproches à plus puissant que soi qui même si elles sont bien méritées car il est possible de s’attirer des désagréments. Introduction Le sujet pourquoi vouloir la vérité ? », présuppose que l'Homme est à la quête de la Vérité, ici la vérité signifie la connaissance, le savoir absolu sur le monde, les choses qui nous entourent et sur nous, les Hommes. Depuis des siècles, les plus grands savants du monde, sont à sa quête pour ainsi la transmettre à l'Homme. Mais elle a aussi était déformée, réfutée par grands nombre de philosophes. Il est donc intéressant de se demander s'il est nécessaire que l'homme veuille rechercher la vérité, plutôt que de rester dans ses illusions ? Pour commencer, nous définirons la Vérité et analyserons les différentes définitions qu'on lui prête, ensuite nous verrons que la Vérité est une sorte de libération puis enfin nous verrons que malgré tout , elle est souvent remise en cause. Les meilleurs professeurs de Philosophie disponibles4,9 18 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !5 78 avis 1er cours offert !5 63 avis 1er cours offert !5 24 avis 1er cours offert !5 15 avis 1er cours offert !5 14 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !4,9 18 avis 1er cours offert !5 152 avis 1er cours offert !5 78 avis 1er cours offert !5 63 avis 1er cours offert !5 24 avis 1er cours offert !5 15 avis 1er cours offert !5 14 avis 1er cours offert !5 20 avis 1er cours offert !C'est partiI Qu'est ce que la Vérité ? En cours de philosophie, c'est une question que tout le monde se pose, même Ponce Pilate l'a demandé au Christ et sur lequel on a pu tout dire. A. La définition de la Vérité La Vérité comme adéquation. Comme le dit St Thomas d'Acquin La vérité est l'adéquation de la chose et de l'intellect », et non ce que l'on pense couramment comme étant seulement le contraire du mensonge ou ce qui n'est pas faux. En effet la Vérité est le lien entre le Réel et la chose donc seuls nos jugements peuvent être considérés comme vrais ou faux. B. La Vérité et croyance Il est intéressant aussi de se demander si la Vérité est une croyance ou si la croyance s'oppose à la Vérité est la base de la Croyance en toutes les religions, Jésus Christ dit même Je suis la Vérité ». C. la Vérité selon Socrate Pour Socrate, la Vérité n'est pas un simple savoir que l'on apprend tous les jours, en effet il pensait que la Vérité était une partie de nous et que seul l'Homme détient le pouvoir de la réveiller, cette Vérité brûle de se manifester. Socrate se considère comme étant l'accoucheur de la Vérité dans l'esprit de l'Homme. Nous verrons dans une prochaine partie que Socrate est en ce sens rejoint par Platon. C'est l'éveil de l'intelligence. II La Vérité comme étant une libération A La délivrance de l'ignorance L'ignorance enferme l'Homme et est capable de tuer ou de faire mal. L'ignorance est le fait de ne pas savoir, de ne pas posséder une certaine connaissance. Etre ignorant aujourd'hui c'est regarder une éclipse sans lunettes de protection ou partir dans un pays Equatorial sans médicaments contre le paludisme ou sans vaccin contre la fièvre jaune. En cela il est clair qu'on peut dire que l'ignorance blesse plus que la Vérité, et dans ce cas là, la découverte de la Vérité est primordiale pour l'Homme car elle lui sauve la vie. Une des raisons aussi que l'Homme veuille accéder à la Vérité, est qu'il en a été trop longtemps privé, par exemple pendant plusieurs siècles les messes étaient célébrées en latin, ce qui empêchait le Tiers Etat d'accéder aux paroles bibliques, l'essence même de la Vérité chrétienne. Pour prendre un exemple plus récent, la question des méfaits ou des bienfaits de la colonisation est aujourd'hui d'actualité, mais la vérité sur la colonisation n'est encore pas accessible à tous et encore des gens sont dans l'ignorance et donc en quelques sortes exclus, notamment les jeunes. Où trouver des cours de philosophie en ligne ? B L'allégorie de la caverne de Platon A travers l'allégorie de la caverne que l'on trouve dans le livre VII de la République, Platon place l'Homme dans une condition d'ignorance, en le plaçant dans un monde obscure, un monde où la lumière n'est pas. Cette lumière qui personnifie la lumière de la connaissance manque à l'Homme, mais ce monde a une ouverture sur la lumière sur la connaissance, sur la Vérité. Ce qui montre que l'Homme n'est pas condamné à l'ignorance et qui peut accéder à la Vérité. Tout cela est mis en scène par des prisonniers d'une caverne avec leurs jambes et leur cou enchaînés depuis leur enfance. Platon montre en fait que ces Hommes sont emprisonnés par leur ignorance, la clef de leur chaîne est nul autre que la lumière, la Vérité et que eux seuls peuvent y accéder. Leur principal crime est le fait qu'ils croient savoir alors qu'ils ne savent rien alors que le philosophe lui est conscient qu'il ne sait pas, ce qui le rend Grand, la découverte de la Vérité détache ses chaînes et le libère des illusions. Cette allégorie peut être soutenue par l'exemple suivant, la découverte de l'héliocentrisme de Galilée a été rejetée par l'opinion publique, qui était convaincue que la Terre était au milieu de l'univers bien que celui-ci avait de solides démonstrations. C La Vérité est la source du progrès La Vérité a permis à l'humain de sortir de l'ignorance et a été le moteur qui l'a conduit à la connaissance de soi est du monde qui l'entoure. C'est en cela une liberté et rejoint la Genèse, La Vérité vous affranchira ». Elle a permis aux grands Hommes de démentir toutes les erreurs antagonistes comme Aristote qui démenti que la Terre était plate, elle éclaire les Hommes, en effet l'on pu voir la fausseté de certains alchimistes qui prétendaient pouvoir créer de l'or à l'aide de formules. Grâce à la Vérité, l'Homme a des repères, mais nous allons voir que pour certains Hommes il est préférable que la Vérité n'existe pas. III La remise en question de la Vérité A Le renoncement à la Vérité Certain philosophe pense que l'Homme ne doit pas aboutir à la Vérité, bien qu'ils aient des façons de penser différentes. En effet, Sartre est plus direct quand il dit que la révélation de la Vérité de l'existence aboutit à l'absurdité. "C'est dans un sens aussi restreint que l'homme veut seulement la vérité il convoite les suites agréables de la vérité, celles qui conservent la vie; envers la connaissance pure et sans conséquence il est indifférent, envers lés vérités préjudiciables et destructives il est même hostilement disposé. » Nietzsche veut en fait dire que l'Homme ne veut pas la Vérité pour elle-même, c'est-à-dire la connaissance et la délivrance de l'ignorance comme on le croit. En effet, l'Homme a tendance à choisir sa Vérité selon Nietzsche, si cette vérité le dévalorise, il ne l'acceptera pas, c'est en effet ce qui s'est passé avec la théorie de Darwin qui place l'Homme dans l'évolution animale, et cette théorie à été violemment réfuté par l'église car elle contredisait l'Ecriture, alors que si Darwin avait prouvé que l'Homme descendait d'Adam et Eve il aurait été adulé par l'église, car il aurait mis fin au doute des gens. C'est ce que Nietzsche veut dénoncer, il recommande même à l'Homme de rester dans l'illusion et de renoncer à la quête de la Vérité. Le sceptique est proche de la pensée de Nietzsche car il dit que tout objet est relatif, c'est-à-dire que personne ne perçoit une chose de la même façon, par exemple une personne peut dire que l'acteur qui joue dans ce film n'est pas très doué alors qu'une autre personne le trouve plein de talent. C'est pourquoi le sceptique propose de n'émettre aucun jugement. B Le cogito, la seule certitude Descartes déclare que la seule certitude que l'Homme doit avoir, c'est le cogito, c'est-à-dire je pense donc je suis », pour lui, seul ce cogito est irréfutable, il conclut donc que si une chose peut être démontré comme le cogito alors elle est vraie. Pour lui, la Vérité ne doit pas être comparé aux choses mais par rapport à cette intuition certaine . C L'opinion publique Pour l'opinion publique, la Vérité n'est pas toujours bonne à dire, en effet elle peut blesser et donc est éviter par les Hommes. Par exemple, lorsqu'un médecin doit annoncer à son patient qu'il va mourir, il préfère s'abstenir ou encore lorsqu'un homme renonce à dire à ses parents qu'il est homosexuel par peur de les blesser, il préfère s'abstenir et ainsi vivre dans le mensonge. L'opinion publique semble avoir peur de la Vérité ou de la découverte de la Vérité, en effet, on assiste parfois à des parents qui pensent que la philosophie en terminale est trop tôt pour l'enfant, alors que la philosophie est le principe même de la quête de la Vérité, n'est ce pas plutôt par crainte ou refus de la vérité ? Conclusion En conclusion, en peut dire que les opinions sur la recherche de la Vérité étaient, sont et seront toujours aussi mitigés, certains Hommes préfèrent rester dans l'illusion, dans l'ignorance par crainte, refus de la Vérité ou pour être aussi peut être plus libre par exemple faire des actes dangereux comme si la mort ne nous concerne pas. D'un autre côté, certains Hommes sont à la recherche de la Vérité à tout prix et passent par tous les moyens pour parvenir à la Vérité philosophie, religions, etc... même les pires sectes.
Toutevérité est bonne à dire. Sauf dire à quelqu 'un qu'il a Alzheimer, parce qu' aucun traitement n'a, à ce jour, été trouvé. Toute vérité n'est pas bonne à dire. Car étant dite seule et isolée elle peut conduire à l' erreur et à de fausses conséquences. Claude Allègre publie Toute vérité est bonne à

Toute vérité n’est pas bonne à dire, car dite seule et isolée, elle peut conduire à l’erreur et à de fausses conséquences mais toutes les vérités seraient bonnes à dire si on les disait ensemble, et si l’on avait une égale facilité de les persuader toutes à la fois. Joseph JoubertLe Dico des citations

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Nemanquez pas l'épisode Toute vérité n'est pas bonne à dire de Candice Renoir. Dernière diffusion le à 01h00 sur
Peut-on trouver la vérité grâce à la science, la philosophie ou le matérialisme ? La vérité absolue existe-t-elle ? Vous devez connaître la réponse !Lorsque la vie de Jésus-Christ fut menacée à cause de fausses accusations portées devant le gouverneur romain Ponce Pilate, Il répondit à ce dernier Je suis né et je suis venu dans le monde pour rendre témoignage à la vérité. Quiconque est de la vérité écoute ma voix » Jean 18 37. Pilate mit fin à la discussion en posant une question qui résonne encore, deux millénaires plus tard Qu’est-ce que la vérité ? » verset 38. Au cours des siècles, les philosophes ont essayé de répondre à cette question. De nombreuses religions s’en sont emparées. Des scientifiques ont commencé à prétendre être les seuls arbitres de la vérité. Mais la question reste en suspens Qu’est-ce que la vérité ? » Peu de questions ont cette capacité à mettre autant au défi notre compréhension du monde, et peu de réponses nous promettent autant de révolutionner notre vie. À bien des égards, c’est la plus grande des questions ! Comment pouvons-nous vraiment connaître l’état du monde ? Qu’est-ce que la vérité ? Comment pouvons-nous savoir ce qui est vrai – et vivre en conséquence ? À notre époque de relativisme moral et d’éthique à géométrie variable », certains se posent même la question de savoir s’il existe des absolus dans le monde. La vérité est-elle relative ? N’y a-t-il rien de fondamentalement bon ou mauvais ? À ceux qui proclament que toutes les vérités sont relatives, il serait amusant de leur demander Mais alors, est-ce absolument vrai de dire qu’il n’y a pas de vérité absolue ? » Bien entendu, si cette déclaration est vraie, alors elle est fausse – et si elle est fausse, alors elle est vraie ! Le fait de dire que toute vérité est relative est un non-sens complet ! Non seulement c’est contradictoire, mais en plus personne n’y croit vraiment – pas même ceux qui le disent. En fait, la vérité absolue est bien réelle. Elle est là ! Mais où pouvons-nous la trouver ? La question de base, Qu’est-ce que la vérité ? », ressemble beaucoup à une question philosophique. Aussi, la philosophie humaine peut-elle nous fournir la source de la vérité ? Les philosophes connaissent-ils la vérité ? L’Histoire regorge d’intellectuels et de penseurs dont les noms nous sont familiers. Lorsque vous prononcez le mot philosophie », vous pensez à des hommes comme Aristote, Platon ou Socrate… Puis à des grands penseurs occidentaux, comme Thomas d’Aquin ou René Descartes – ou orientaux, comme Confucius. D’autres noms, moins connus, ont aussi laissé leur empreinte dans la pensée philosophique humaine, comme le Perse Avicenne ou les différents Zénon de Grèce. Parmi les philosophes modernes, de Kierkegaard à Kant, en passant par Sartre, Heidegger ou Teilhard de Chardin – beaucoup ont cherché à savoir qui nous sommes, pourquoi nous sommes ici, ce qui est bon ou mauvais, autrement dit Qu’est-ce que la vérité ? De tout temps, nous voyons beaucoup de raisonnements logiques et de discussions dans les efforts des philosophes séculiers ; cela n’est pas mauvais en soi, mais il n’y a pas de vraies réponses. Beaucoup de jeunes hommes et de jeunes femmes se lancent dans un cursus philosophique à l’université, dans l’espoir de résoudre les grandes questions de la vie, mais au final ils ne découvrent que des discussions et des débats entre philosophes, qui semblent uniquement engendrer d’autres discussions et d’autres débats ! Un des hommes les plus sages ayant vécu sur terre, le roi Salomon, a écrit J’ai appliqué mon cœur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux c’est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l’homme. J’ai vu tout ce qui se fait sous le soleil ; et voici, tout est vanité et poursuite du vent » Écclésiaste 1 13-14. Les études de philosophie peuvent être bénéfiques Dieu est logique et la parole de Dieu encourage à penser de façon logique. Mais en l’absence de base fondamentale commune, les débats philosophiques de l’humanité sur la nature de la vérité ne produisent rien d’autres que des débats supplémentaires, amenant à leur tour des arguments et ainsi de suite… sans jamais aboutir sur le type de vérité fondamentale dont nous avons besoin pour bâtir notre vie. Dans notre recherche de la vérité, nous devons chercher ailleurs. Les scientifiques connaissent-ils la vérité ? De nos jours, beaucoup de gens considèrent les sciences naturelles comme le prétendant le plus sérieux au titre de détenteur de la vérité. Il est certain que la science est puissante. Elle nous a permis de déterminer la composition chimique des étoiles et des nébuleuses, ainsi que les périodes orbitales des planètes éloignées de la Terre. Nous avons sondé la dimension infinitésimale du règne subatomique et identifié un nombre incroyable de lois régissant le monde autour de nous ! Cependant, trop de scientifiques pensent encore que leurs connaissances sur la création impliquent qu’il n’y ait pas de Créateur. Imaginez des experts qui connaîtraient si bien la Joconde, au point d’en conclure que son peintre, Léonard de Vinci, n’a jamais existé ! De nombreux scientifiques déclarent également que la science est le seul moyen par lequel la vérité peut être comprise. Nous voyons cet état d’esprit dans le travail de quelques célèbres scientifiques athées, comme le généticien Axel Kahn, le biologiste Richard Dawkins ou le neurobiologiste Sam Harris. Dans son livre The Moral Landscape Le panorama moral, Harris essaie même de réduire la morale absolue en termes scientifiques, en connaissances et en expérimentations. Mais de tels efforts pour faire de la science la seule source et le juge de la vérité sont voués à l’échec dès le départ, et ce pour plusieurs raisons. Tout d’abord, la science est basée sur des efforts humains, vulnérables, sujets aux pièges de l’orgueil, de l’intrigue et des préjugés. Le biologiste évolutionniste Austin Hughes écrivit que la grande confiance accordée aux panels d’experts et aux comités de pairs devrait sembler déplacée à tous ceux qui ont travaillé dans ces comités et qui ont vu l’étendue des idées préconçues, des vendettas personnelles et de la propension à torpiller parfois les meilleures propositions » “The Folly of Scientism”, The New Atlantis, automne 2012, page 32. Les théories scientifiques ne reposent jamais entièrement sur des faits. Ce sont des interprétations des faits et, comme toute interprétation, elles sont toujours sujettes à être influencées par les hypothèses et les points de vue dominants dans le monde. Les scientifiques débattent souvent de leurs interprétations avec passion, bien que cela soit rarement montré dans les émissions télévisées proposées au public. La pratique de la science repose en réalité sur des principes logiques, mathématiques et sur des hypothèses métaphysiques qui, elles, ne peuvent pas être prouvées scientifiquement. Le fait même que la science devrait être l’arbitre suprême de la vérité ne peut pas être prouvé scientifiquement ! Pour ceux qui y croient, c’est une question de foi métaphysique et non une vérité scientifique ». Concernant la morale, la science est complètement impuissante pour définir ce qui est bon ou mauvais. Aucune expérience scientifique ne pourra, par exemple, nous dire si l’Holocauste était vraiment mauvais, ou si les meurtres et les viols sont bons ou mauvais. La science nous a apporté une incroyable connaissance sur de nombreux aspects du fonctionnement du monde – mais lorsque nous cherchons à l’utiliser comme la seule véritable source » de vérité, nous nous rendons compte que c’est une source plutôt médiocre. Les vérités mathématiques, les vérités esthétiques, les vérités sur le but et la signification de nos vies – même les vérités morales fondamentales et le concept de base du bien et du mal – aucune de ces vérités n’est visible dans le microscope d’un biologiste ou le télescope d’un astronome. Il nous faut donc trouver ailleurs la réponse à la question Qu’est-ce que la vérité ? » La vérité mathématique ? Dans notre recherche de vérités ultimes – des vérités fondamentales et fiables – pourquoi ne pas regarder du côté des mathématiques ? Les lois abstraites de la science mathématique vont beaucoup plus loin que les lois de la physique-chimie que nous voyons dans le reste de la science. La vérité fondamentale que 1+1=2 ne permet aucune interprétation », ni aucune influence venant des idées en vogue dans les milieux universitaires. Les théorèmes et les preuves de la géométrie euclidienne, comme les postulats et les principes de l’algèbre, ne dépendent même pas de l’univers dans lequel nous vivons. Leurs règles et leurs applications sont vraies dans n’importe quel univers ! La rigueur absolue des mathématiques, ainsi que ses preuves et vérités irréfutables lui ont valu le surnom de reine et servante des sciences » par ceux qui étudient cette matière. De nombreux mathématiciens se sont demandé si la portée finale des mathématiques pourrait résoudre une fois pour toutes la question ultime de la vérité. Wilhelm Gottfried Leibniz – mathématicien du 17ème siècle, codécouvreur du calcul infinitésimal avec le célèbre Isaac Newton – fut un logicien de premier ordre. Il croyait que toute la vie découlait d’une logique et que, si l’on pouvait simplement encoder toutes nos pensées en symboles mathématiques, nous pourrions découvrir les règles mathématiques » qui nous conduiraient à la vérité. Dans son traité, L’art de la découverte, publié en 1685, il écrivit La seule façon de rectifier nos raisonnements est de les rendre aussi tangibles que ceux des mathématiciens, de sorte qu’une erreur puisse se voir d’un coup d’œil. Et lorsqu’il y aura une dispute entre deux personnes, on pourra simplement dire “Ne discutons pas, monsieur, calculons pour voir qui a raison” » Panorama de l’intelligence artificielle, volume 3, éditions Cépaduès, 2012. Leibniz n’était pas le seul à se répandre en idées poétiques sur la puissance présumée des raisonnements mathématiques. Ces mêmes motivations ont conduit les célèbres Alfred North Whitehead et Bertrand Russell à écrire un des ouvrages fondamentaux des mathématiques logiques, Principia Mathematica. Leur souhait était de trouver un fondement logique qui pourrait permettre à l’humanité de prouver toutes les mathématiques. Ils sont allés chercher si loin que dans la première édition, la formule 1+1=2 » n’apparaît pour la première fois qu’en page 379 ! Beaucoup ont imaginé un système de pensée logique qui pourrait mener à la vérité, comme on fait une opération arithmétique, mais cela relevait du fantasme. Dans les années 1930, le mathématicien Kurt Gödel lâcha l’équivalent d’une bombe nucléaire. Les détails de son travail sont difficiles à comprendre sans de solides connaissances mathématiques, mais pour résumer, Gödel prouva mathématiquement qu’il était impossible de prouver mathématiquement toutes les vérités ! Il prouva même que les vérités purement mathématiques ne pouvaient pas toutes être prouvées mathématiquement. L’idée d’un ensemble de règles et de théorèmes pouvant débloquer toutes les vérités était morte. Pour ceux qui cherchent la source de la vérité, les mathématiques sont une étape fascinante et passionnante, mais ce n’est pas la fin du cheminement. Dans tous ces efforts, nous avons vu que les hommes les plus brillants et les plus doués ont essayé de définir la vérité », mais finalement ils ont tous échoué lamentablement. Demandez à un philosophe ou à un scientifique quel est le but de la vie, ou la valeur de l’existence, et vous obtiendrez probablement un large éventail de réponses basées sur un grand nombre de théories et de non-sens. Dès qu’il s’agit du sens, de la valeur et du but de la vie, ou de l’existence, ainsi que des fondements de la morale, les philosophes sont dans la confusion, les scientifiques se retrouvent les mains vides et les mathématiciens n’ont rien à proposer. La vérité révélée ! Considérons une dernière option. Un Dieu aimant – le Créateur personnel de l’humanité – laisserait-Il Sa création dépourvue d’indications et de principes de base pour comprendre la vérité ? Nous aurait-Il créés pour nous abandonner dans des ténèbres sans réponse, incapables de déterminer le vrai du faux et de différencier le bien du mal ? Nous aurait-Il créés pour nous délaisser, sans le moindre espoir de comprendre la raison pour laquelle nous avons été créés ? Si l’humanité a besoin de savoir ce qui est vrai, mais qu’elle ne peut pas le découvrir par elle-même, alors un Dieu aimant nous aurait assurément laissé des écrits et des indications – des instructions pour connaître la vérité. Dans la révélation du Dieu tout-puissant et éternel – la Bible, Sa parole – nous trouvons finalement la vérité. Voyez ce que la Bible déclare à propos de sa nature et de son contenu. Pendant la nuit précédant Sa crucifixion, avant d’être trahi et arrêté, Jésus-Christ pria Son Père dans les cieux en présence de Ses disciples. Dans cette prière, Il fit une demande simple et une formidable déclaration Sanctifie-les par ta vérité ta parole est la vérité » Jean 17 17. La même opinion se retrouve dans l’Ancien Testament Tu es proche, ô Éternel ! et tous tes commandements sont la vérité » Psaume 119 151. La vérité contenue dans la parole de Dieu, la Bible, n’est pas uniquement là pour être acceptée intellectuellement en tant que témoin, mais pour être mise à l’épreuve ! L’apôtre Paul a écrit Éprouvez toutes choses ; retenez ce qui est bon » 1 Thessaloniciens 5 21, version Ostervald ! Malgré les nombreuses critiques et la virulence des détracteurs, les Écritures ont survécu à travers les siècles comme une source solide, fiable et concrète de sagesse et de connaissance de la vérité ! Elle continue à passer le test des découvertes archéologiques et des études scientifiques. Elle continue à prouver sa véracité dans la vie de ceux qui ont le courage de faire ce qu’elle dit ! Bien qu’elle fut attaquée et décriée, génération après génération, ses opposants sont morts, mais le message de la Bible et la puissance de ses vérités demeurent – en transformant des vies, en édifiant des familles, en guidant ceux qui ont besoin d’être guidés et en répondant aux questions sur le sens et le but de la vie, avec une autorité et une puissance qu’aucune autre source sur terre n’a jamais pu égaler ! Le rôle de la parole de Dieu comme source de la vérité ultime – une vérité qui peut uniquement venir du Créateur tout-puissant en personne – ne doit pas simplement être accepté sur la base d’un argument philosophique, d’une expérimentation scientifique ou d’une preuve mathématique. Dieu Lui-même valide Sa parole dans la vie de ceux qui Lui permettent de travailler en eux pour comprendre Ses vérités et ceux qui s’efforcent de marcher dans la voie qu’Il trace devant nous. Ceux qui veulent se consacrer au Dieu suprême de la Bible trouveront la réponse à la question Qu’est-ce que la vérité ? » – mais ils trouveront aussi un Guide et un Compagnon personnel, vivant et aimant, qui les aidera à vivre par cette vérité pour l’éternité. C’est la plus grande vérité qu’il soit possible de trouver.

Ne vous laissez pas faire », appelle-t-il en recommandant que des victimes obtiennent réparation avant d’être indemnisés. Selon les membres des coopératives minières, « une parole de vérité pèse plus que le monde entier ». A dire la vérité sur les mines à Mwenga, on perd l’amitié avec les chinois se disent-ils.

Avant-propos 1Le présent dossier réunit quelques-unes des contributions données lors de la séance académique organisée à l’Institut de France Paris le 9 décembre 2011, à l’occasion de la publication de l’Anthologie Philosophie et théologie 4 tomes achevée en 2011 aux éditions du Cerf sous la direction de Philippe Capelle-Dumont, en collaboration avec Jean Greisch et Geneviève Hébert Tome IV, Jean-Christophe Bardout Tome III, Olivier Boulnois Tome II, Jérôme Alexandre Tome I et de 90 auteurs. 2Communication introductive de Philippe Capelle-Dumont. 3Interventions de Marcel GauchetOlivier BoulnoisJean-Christophe BardoutGeneviève HébertJean-Luc Marion Communication introductive du professeur Philippe Capelle-Dumont 4Permettez-moi de remercier le Professeur François Terré, président honoraire de l’Académie des sciences morales et politiques, qui a bien voulu former des mots d’accueil généreux et Nicolas-Jean Sed, directeur des éditions du Cerf dont la grande Maison est, avec la Société francophone de philosophie de la religion, la puissance invitante et organisatrice de la présente réunion ; c’est à lui en effet, également à Sylvie Mascle, éditrice au Cerf, que nous devons l’aboutissement éditorial de notre projet scientifique. Je voudrais donc, à l’un et l’autre, rendre un hommage sincère et leur exprimer au nom des 90 collaborateurs de notre entreprise, toute ma reconnaissance pour leur accompagnement confiant, patient et qualifié. 5Il me faut non moins rendre à César ce qui est à César en remerciant deux contributeurs distingués de notre anthologie qui ont suggéré l’idée de cette séance académique Mgr Joseph Doré, théologien et archevêque émérite de Strasbourg ici présent, ainsi que Olivier Boulnois. Pour ma part, je formerai le souhait que cette séance soit non point une autocélébration collective mais, grâce aux conférenciers qui nous font l’honneur de leur participation, notamment Jean-Luc Marion de l’Académie française et Marcel Gauchet de l’École des hautes études en sciences, l’occasion d’un débat sur la place de la relation entre philosophie et théologie, historique et actuelle, dans la cité et dans le commerce des idées contemporaines. 6C’est en 1999 en effet que le projet de cette Anthologie Philosophie-théologie est venu à l’idée. Il est né en partie d’une frustration, celle de n’avoir pas pu, une année auparavant, ce pour des raisons juridiques, publier les trente-cinq pages de textes d’anthologie que j’avais réunis, que comporte l’œuvre de Heidegger sur le rapport philosophie-théologie comme tel. Mais surtout, cette entreprise éditoriale est la réponse lointaine aux sollicitations qui m’avaient été adressées d’un côté par Henri Birault, au début des années 1980, d’explorer la question des rapports entre la philosophie et la théologie chez Heidegger, et d’autre part au début des années 1990, par les deux facultés de philosophie et de théologie de l’Institut catholique de Paris, d’inventer un cours, qui n’existait alors point en effet, sur La relation philosophie et théologie ». Ces deux appels venus d’horizons bien différents, m’ont permis d’approfondir dans une perspective systématique, une question qui ne pouvait pas concerner seulement la théologie ni même seulement le christianisme historique, mais devait avoir quelque rapport avec la constitution historique de la pensée occidentale. Tel est en effet l’objet principal des quatre tomes qui nous réunissent attester, pièces en main, non pas seulement de la permanence de la relation philosophie-théologie dans l’histoire des idées occidentales, ce qui est déjà beaucoup, mais surtout de la force inspiratrice de cette relation dans la constitution même de cette histoire. 7Dans les années qui suivirent, entre 2001 et 2003, j’ai tenu deux séminaires sur la méthodologie exigée par le projet et ses objets, aboutissant finalement pour chaque notice à une composition tripartite une présentation de l’auteur ou d’un groupe d’auteurs, puis un choix de textes significatifs, si possible proche de l’exhaustivité et, enfin, une bibliographie circonstanciée. C’est fort de cette première structure que nous nous sommes mis à la tâche dans une opération collective qui ne devait, à mes yeux alors pleins de candeur, ne s’étendre que sur 5 années. En réalité, plus du double aura été nécessaire pour aboutir dans un labeur de folie autant que de raison. 8Les quatre tomes de l’ouvrage correspondent aux quatre grandes périodes historiques classiquement distinguées ; antique, médiévale, moderne et contemporaine. Au vrai, ces distinctions classiques laissaient ouvertes la question des porosités thématiques et textuelles. Ce sont donc des choix délibérés de délimitations qu’il nous a fallu assumer, en commençant le premier Tome avec Platon et en l’achevant avec Jean Damascène ; en commençant le second avec le moment byzantin et en l’achevant avec Grégoire et de Rimini et Pierre d’Ailly ; en commençant le tome III avec Luther, Calvin et Erasme, et en l’achevant avec Nietzsche. Il paraissait d’emblée plus obvie de commencer le Tome IV avec Pierce, James et Husserl, un peu moins de l’achever, ce qui pourtant fut décidé, avec deux auteurs toujours vivants, Habermas et Jüngel. 9Parmi les recensions déjà commises sur ces différents tomes, j’ai pu lire le regret que n’ait pas été intégré tel ou tel auteur, par exemple Grégoire de Nazianze. Pourquoi ne figure-t-il pas en effet au Tome I ? Pour une raison simple car nonobstant la qualité de ces interpellations, et comme je me permets de le rappeler, l’objet précis de l’anthologie, son sujet, son ambition était et reste de relever ce qu’il en est, dans l’histoire des idées occidentales de la relation philosophie-théologie en tant que telle. Cette intention directrice qui était aussi éloignée que possible du genre apologétique, ouvrait certes un vaste champ d’investigation mais en même temps nous imposait de strictes limites elle interdisait de rassembler des approximations sur les thèmes de la croyance, du divin et des dieux et de Dieu chez tel ou tel auteur ou dans tel ou tel corpus. Ce qui a ainsi fait notre cahier des charges éliminait d’office certains auteurs, philosophes ou théologiens chez lesquels cette relation, précisément n’avait guère été thématisée ou même commentée. 10Le pari ainsi engagé était difficile à tenir pour une autre raison majeure la relation philosophie-théologie fut de facto historiquement mobile, recouvrant des champs sémantiques bien différents. Lorsqu’elle opère dès le matin grec chez Platon et Aristote, ce n’est certes pas selon les inspirations que lui lèguera l’entrée du christianisme dans l’histoire. Et lorsque que le christianisme naissant, celui qu’on appelle patristique » fait conversation avec le grec, ce n’est pas sous le mode de ce que la scolastique médiévale nous a légué de la distinction des ordres naturel et surnaturel ; et si saint Augustin méconnaît la distinction scolastique philosophie-théologie, il n’ignore cependant point la distinction philosophie/foi tout comme saint Justin trois siècles plus tôt. 11Assumant de telles mobilités sémantiques, notre enquête a fait apparaître une pluralité de postures souvent enfouies, voire dissimulées. Exemple si l’on sait que l’œuvre de Platon est pleine du divin et des dieux, on en apprendra beaucoup sur le corpus théologique de Husserl ! On pourra, sous la main, observer toute la place qu’occupe le référentiel philosophique dans les diverses constellations théologiques chez les Rudolf Bultmann, Karl Rahner et Hans Urs von Balthasar, y compris chez les penseurs musulmans médiévaux et dans la tradition juive. Symétriquement, on pourra mesurer toute la place qu’occupe chez Kant, Hegel, Marx, et chez des contemporains comme Merleau-Ponty ou Derrida, le référentiel théologique. 12La mise en évidence de ces corpus souvent peu connus, en tout cas dispersés, interdit non seulement l’élimination de tout un pan de notre culture sur laquelle Levinas et Ricœur nous avaient alertés voici longtemps on pensera notamment à l’interpellation de Ricœur adressée à Heidegger en 1955 lors de la décade de Cerisy-la Salle, – mai aussi les simplifications ou les réductions de ces relations à un ou deux modèles comme on s’y résout parfois, par exemple la scolastique et l’Aufklärung. Pour ma modeste part, j’ai tenté dans l’Introduction générale Tome I de relever huit modèles de la relation philosophie-théologie, non point pour emprisonner violemment plus de vingt siècles d’en entrelacement prodigieux, mais pour en relever à tout le moins l’irréductibilité des topiques et indiquer une tâche qui reste encore devant nous. 13En effet, si la tradition philosophique et la tradition des idées théologiques, dans leur pluralité interne » sont chacune pour leur part, dépositaires d’une mémoire singulière de la relation philosophie-théologie, c’est en vertu de réquisits précis qu’il convient de relever correctement. C’est pourquoi, à l’intérieur même de la tradition théologique qui a beaucoup activé cette relation, et comme le savent bien les théologiens, le modèle patristique que l’on peut appeler, je crois, Récapitulation christo-théologique » ne se laisse pas reconduire vers le modèle de la scolastique thomiste, ni vers celui de l’intégration de Hans Urs von Baltasar, ni vers celui de l’anthropologie transcendantale de Karl Rahner. C’est pourquoi, par un autre côté, au sein même des corpus philosophiques, la relation philosophie-théologie ne saurait être lue à travers le seul prisme de quelque logique disjonctive telle, par exemple, celle qu’a pu induire une lecture compréhensive du grand Pascal. En réalité, tous ces styles » de la relation philosophie-théologie, sont eux-mêmes portés par un enchevêtrement de considérations entre raison et révélation, savoir et croyance, être et Dieu, métaphysique et religion, souvent difficiles à démêler mais que notre anthologie devrait permettre, je l’espère, de mieux identifier. 14Ce qui me semble ainsi devoir être retenu de l’histoire longue des relations philosophie-théologie, ce sont essentiellement trois leçons, par lesquelles je conclurai mon propos. En premier lieu, le caractère multiforme de la relation historique entre la philosophie-théologie raconte le jeu des possibles, constitutif des deux traditions de pensée elles-mêmes. La théologie n’est assurément pas ce qui s’en dit encore trop souvent un ensemble logico-déductif enté sur une révélation hors-monde ». De même, la philosophie n’est pas un exercice si facilement docile à l’instrumentalisation, … ni par les théologies ni par les sciences. C’est donc une reconnaissance au triple sens du terme, reconnaissance de traditions de pensée et de rationalités, reconnaissance de dette, et reconnaissance de nouveaux territoires, que suggère la relecture de cette histoire ici célébrée autour de la conjonction de coordination et » Philosophie et » théologie. Cette relation constitutive de notre mémoire, fut et reste portée par des données extra-philosophiques et extra-théologiques nous aurons fait davantage que de le suggérer, en évoquant la part qu’y ont prises notamment les sciences physiques, et les différents les domaines de la politéia ». Ce qu’il en est des théologies, de leurs relations ou de leur non-relation à la philosophie, risque de devenir demain – mais c’est déjà le cas – un problème politique » de premier plan. La question interreligieuse s’invitant plus que jamais dans la cité, il se pourrait que les destins des deux polarités disciplinaires philosophique et théologique se jouent dans leur capacité à traiter systématiquement les nouvelles questions angulaires que sont la bioéthique, le statut de la violence et du sacré, la possibilité d’une définition transculturelle des droits humains et la nécessaire jonction de nos mémoires fondatrices. Notre tâche, à cet égard, ne fait que commencer. Intervention du professeur Marcel Gauchet 15Je suis assurément le plus mal qualifié pour figurer à cette table, et il a fallu l’insistance amicale de Philippe Capelle-Dumont pour vaincre les scrupules qui naissaient du sentiment de mon incompétence. Je n’ai pas vaincu complètement ces scrupules, et je ne suis pas certain que les propos que je vais vous soumettre présentent un très grand intérêt, mais je tiens en tout cas à remercier Philippe Capelle-Dumont de m’avoir invité à cette rencontre. Il m’a ainsi fourni l’occasion de réfléchir à un problème dont je n’avais qu’une idée vague, je l’avoue, en dépit d’une fréquentation assez régulière et ancienne des écrits des théologiens, sans la moindre compétence disciplinaire mais par intérêt théorique. 16L’ouvrage m’a frappé par l’importance qu’il met en lumière d’une question qui – dans l’espace contemporain en tout cas – n’avait pas reçu l’éclairage qu’elle mérite. Je partirai tout simplement d’un sentiment de lecteur récent celui de la fécondité de l’éclairage proposé sur la philosophie contemporaine. Car, au fond, c’est un problème très classique qui depuis les universités médiévales fait couler beaucoup d’encre philosophique et théologique. En revanche, a priori pour la pensée contemporaine, il semblait permis de penser que ces relations s’étaient tellement distendues que nous étions proches d’une situation où certes, il y a toujours des philosophes chrétiens – en particulier d’autres traditions religieuses – qui manifestent un grand intérêt pour la théologie ; mais la masse de la production philosophique paraît relever – je crois que c’est le préjugé courant et qui n’est pas sans motifs – d’un discours rationnel sans Dieu, qui n’a plus grand chose à voir avec l’ambition théologique d’un discours rationnel sur Dieu. 17Eh bien, ce que met spectaculairement en lumière ce volume, c’est au contraire la richesse de cette inter-fécondation, et en particulier chez des auteurs qu’on attendrait pas du tout dans ce rôle, c’est là le plus significatif bien sûr. Pour Lévinas ou Ricœur, je conçois fort bien qu’ils aient eu un intérêt naturel pour cette question. On l’attend moins – et cela a été l’une de mes principales surprises – d’un auteur comme Merleau-Ponty, dont à priori je n’aurai pas pensé qu’il manifestait beaucoup d’intérêt pour la question. Mais aussi bien je dois dire, pour Derrida dont je n’ai pas été un très grand lecteur depuis longtemps, mais dont l’éclairage proposé sous l’angle de ce volume à renouvelé complètement l’image que je m’en faisais. 18Aborder d’une manière générale le champ philosophique contemporain au prisme des relations entre la philosophie et la théologie se révèle riche, étonnamment riche de questionnements, et fait surgir toute sortes de perspectives que l’on aurait pas attendues. Je ne vais pas pouvoir détailler comme il conviendrait cette relation dans ses différents registres, je m’en tiendrai à une considération générale. 19L’intimité des liens entre l’interrogation philosophique la plus détachée en apparence d’une préoccupation religieuse, et plus précisément de ce que je me permettrais d’appeler cavalièrement la tradition théologique – car il y a bien quelque chose je crois comme une tradition théologique celle qui s’inscrit consciemment pour l’espace culturel qui nous intéresse principalement à l’intérieur de la religion chrétienne – me semble un fait désormais bien inscrit dans l’horizon intellectuel de notre époque. Et je crois que maintenant, cette ontologie devrait ouvrir sur des travaux qui questionneraient ce lien. 20En regard, il serait peut-être permis en ce sens de parler d’une tradition philosophique, constituant un vecteur indépendant et parallèle de la tradition théologique, quand bien même il n’a qu’un rapport malaisé avec ce double, dont spontanément il se croit émancipé, mais avec lequel il est contraint néanmoins de dialoguer. Le discours philosophique est à cet égard dans une position très ambiguë aujourd’hui, qui mérite une réflexion à nouveaux frais. Car nous sommes là devant quelque chose comme l’inconscient culturel de notre époque. Pour la plupart des philosophes contemporains, ce lien – qu’ils pratiquent en fait, parce qu’ils connaissent l’histoire de la philosophie, bien sûr…Si vous me permettez une anecdote elle est révélatrice j’ai le souvenir d’un de mes amis normaliens qui, au plus fort des années de l’après 1968, me faisait part de son étonnement devant le spectacle de quelques-uns de ses condisciples althussériens et maoïstes qui ne juraient que par Spinoza, et qui fondaient sur Spinoza – tout à fait dans l’esprit du maître –, ou qui voyaient dans l’auteur de l’Éthique la clé d’un renouvellement de la lecture révolutionnaire de Marx. Et mon ami de s’ébahir de ces militants d’un matérialisme assez agressif qui, me disait-il, ne parlent toute la journée que de Dieu. Pour faire la révolution. Eh bien, c’est un peu cela le rapport contemporain des philosophes à la théologie ils la connaissent, ils en ont lu beaucoup, ils se sont posé la question à propos de nombre d’auteurs, de ces rapports entre philosophie et théologie. En même temps, cela ne fait aucunement partie de leur horizon intellectuel de questionnement. C’est un lien de fait, qui est en passe de perdre son statut conscient, alors qu’il gagnerait a être bien davantage exploré pour lui-même, et on peut espérer que ce grand ouvrage soit à cet égard un encouragement. 21C’est à ce sujet que je voudrais vous soumettre sans aucune prétention deux réflexions la première est de l’ordre d’une inquiétude. Car il est visible que, loin de tendre vers cette plus grande conscience, la pente spontanée de notre culture et de la culture philosophique la plus académiquement constituée, va dans l’autre direction. Je parlais tout à l’heure d’un discours rationnel sans Dieu, et je dirais que le préjugé philosophique le plus acquis est que ce discours n’est rationnel que parce qu’il est sans Dieu, et que le reste ne saurait le concerner. Nous sommes en marche culturellement parlant vers l’oubli et l’effacement de ce lien qui ne se maintient que par la force de la discipline Histoire de la philosophie ». Mais le caractère vivant de l’interrogation s’est perdu, et il est permis à cet égard de s’inquiéter d’un dommage qui pourrait être irréparable. L’humanité européenne – car c’est de l’humanité européenne spécifiquement qu’il s’agit – est de ce point de vue, intellectuellement parlant, à la croisée des chemins. Le grand mouvement moderne de sortie de la religion – je ne parle pas ici de la croyance religieuse, mais de l’organisation religieuse du monde et du cadre de pensée religieux, celui-là même qui vient en accusation philosophiquement avec Nietzsche, dans l’ordre du concept – ce processus nous amène aujourd’hui devant un dilemme, au stade qu’il a atteint. Que faire de ce passé du discours religieux et de son élaboration rationnelle sous forme de théologie dont notre culture est persuadée qu’elle s’est pour l’essentiel extraite ? La tentation est grande de l’amnésie radicale, du passage à une humanité intellectuellement nouvelle, qui garde certes, de par les disciplines universitaires, un lien avec les monuments du passé, mais qui – pour ce qui la concerne essentiellement – se tient au dehors de ce passé, dont la question se pose de savoir s’il s’agit de maintenir un lien vivant avec lui ou carrément de s’en délester. Or, bien sûr, tout à l’opposé, une humanité sortie de ce cadre intellectuel et social de la religion est une humanité qui a le devoir de se souvenir et de donner un sens, non seulement au fait qu’elle a été religieuse, mais que le discours rationnel autour duquel elle s’organise est issu du travail de la pensée sur la foi. Cette humanité, très nouvelle à beaucoup d’égards – et je ne parle là que sur le plan intellectuel encore une fois – ne peut se comprendre qu’en comprenant qu’elle a été religieuse, et ce qu’elle doit à l’élaboration théologique de la religion. Ce n’est qu’au prix de cet effort qu’elle peut rester elle-même. Tel est le grand choix devant lequel se trouve notre culture sommes-nous en mesure de donner un statut délibéré à cet effort de réappropriation ? Ou bien va-t-il s’effacer peu à peu en devenant de plus en plus un implicite pratiqué seulement par le truchement d’un dialogue savant à distance, qui ne porte plus véritablement dans la vie de l’esprit, et qui de ce fait cesse d’être transmissible en réalité ? Ce choix revêt un relief particulier sur le terrain de la philosophie, naturellement. C’est la seconde réflexion que je vous annonçais, étant donné l’intimité des démarches que cette ontologie fait si bien ressortir. 22Ce lien vital entre la forme même du discours philosophique – c’est le point que j’aurais aimé ici approfondir, mais bien sûr le cadre ne s’y prête pas par les contraintes de temps qui sont les nôtres – le place en accointance avec un discours théologique dont il ne peut longtemps s’écarter que pour y revenir d’une manière ou d’une autre, ne serait-ce que pour se ressaisir lui-même. La philosophie est dans l’obligation aujourd’hui d’assumer cette accointance primordiale avec la théologie, cette espèce de matrice commune qu’elle partage avec elle. Il est dans ses obligations d’assumer cette accointance ou de se perdre. Elle n’est pas esclave de cette matrice, où, dans la forme que nous lui connaissons, l’interrogation philosophique moderne et contemporaine a pris naissance. Non seulement elle n’en est pas esclave mais il lui revient d’en élucider la teneur avec les moyens qui sont les siens. L’auto-réflexion qui est la marque distinctive du propos philosophique, est aujourd’hui, pour une part essentielle, réflexion sur cette parenté de forme du discours philosophique et du discours théologique qui était ce qu’un Nietzsche voulait rompre et ce que, au fond, le mouvement de la pensée du xxe siècle nous aura appris qu’il était impossible à rompre. 23La philosophie se doit de reconnaître qu’elle est vouée à penser avec la théologie, même si c’est en dehors d’elle, voire contre elle. À cet égard, l’Anthologie dirigée par Philippe Capelle-Dumont vient à son heure. Elle fait surgir une question qui est notre question cruciale philosophiquement parlant, et nous pouvons remercier ces auteurs et ces maîtres-d’œuvre des précieux matériaux qu’ils nous apportent pour faire face à cette question qui est, non pas une vieille question, mais la question qui est devant nous, la question nouvelle par excellence, de l’heure, à la mesure même de la distance que nous avons prise avec ce qui était la forme établie des rapports entre philosophie et théologie. Je vous remercie. Intervention du professeur Olivier Boulnois 24 La naissance de la théologie » 25Le tome II de l’Anthologie rend compte d’un phénomène qui débute dans l’antiquité chrétienne le développement d’une rationalité théologique. Harnack voyait dans ce phénomène une hellénisation du christianisme, et donc une trahison du judaïsme originel. Il me semble plus juste d’y voir une christianisation de l’hellénisme. En effet, la structure porteuse de cette culture est de toute évidence la Bible et son interprétation. 26Celle-ci prend au Moyen Age le nom de théologie. 27On pourrait distinguer grossièrement trois phases dans cette histoire. 28Dans la première phase, il a fallu injecter le maximum de rationalité dans l’interprétation de l’Ecriture. Les auteurs utilisent les arts libéraux, c’est-à-dire la grammaire, la logique et les sciences, comme outils pour établir la vérité à partir d’une interprétation spéculative de l’Ecriture sainte. C’est l’idéal de Jean Scot Erigène au ixe siècle, il sera encore repris par la théologie monastique, puis par les victorins au xiie siècle. Les auteurs appellent parfois cela, à la suite d’Augustin, la philosophia christiana philosophie chrétienne. 29Dans un second temps vient le défi étonnant de la fides quaerens intellectum la foi cherchant l’intelligence, autour de la figure de saint Anselme xie siècle. Il s’agit de démontrer par la seule raison des vérités qui seront identiques à celles que le croyant découvre par l’interprétation des Écritures. Ici, la raison et l’Ecriture sainte doivent être deux langages qui expriment une seule vérité. 30Enfin vient l’époque de la scission les maîtres ès arts, ancêtres de nos philosophes, établissent des vérités par la seule raison, et celles-ci, notamment après la seconde découverte d’Aristote par le biais des arabes, peuvent entrer en conflit avec celles de la foi. C’est le temps de la rivalité mimétique entre philosophie et théologie, qui prétendent toutes les deux être des sciences. On le voit de la fin du xiiie au xve siècle. 31J’ai essayé, dans ces 24 chapitres, de faire droit à ce que Paul Vignaux appelait la diversité rebelle. Diversité culturelle d’abord j’ai tenu à commencer par la théologie à Byzance, puis la philosophie islamique, et l’exégèse latine. Diversité des époques nous allons du ixe siècle, avec Jean Scot, jusqu’à Pierre d’Ailly début du xve siècle. Diversité des statuts les trois quarts des textes n’avaient jamais été traduits. Deux chapitres sont même fondés sur des manuscrits inédits. Diversité des genres on y trouve des règlements universitaires, des lettres, des traités, des questions disputées, des commentaires. 32Bref, cette anthologie en son second tome peut être lue à un double niveau dans sa diversité, c’est un manuel pour introduire à la lecture infiniment variée des auteurs médiévaux ; dans son unité, elle soutient une thèse sur l’histoire de la pensée médiévale. 33Cette thèse peut être condensée en trois points La théologie, contrairement à une idée reçue, et malgré quelques exceptions contemporaines, apparaît comme la quintessence de la rationalité. Au niveau même de l’exégèse, la raison était déjà à l’œuvre. La relation entre philosophie et théologie est passée par plusieurs figures accomplissement de la philosophie chrétienne dans l’antiquité, conflit entre artiens et théologiens au Moyen Age, autonomie progressive de la philosophie à l’ère moderne. Mais cette bipolarité est constitutive de l’occident. À la différence des sagesses – indiennes ou bouddhistes, par exemple –, qui, à ma connaissance, ne connaissent pas de philosophie et de théologie distinctes l’une de l’autre. Si l’on ne part pas d’un idéal unitaire, comme le veulent certains mythes historiographiques, tel celui de la synthèse thomiste », ou de l’âge d’or du treizième siècle », l’histoire n’apparaît pas comme une décadence. Ce n’est pas une rationalisation irréversible de synthèses religieuses. On n’assiste pas à une sécularisation irréversible, mais bien plutôt à un affrontement entre ces deux pôles. Cette situation est peut-être normale en Occident. À l’époque de saint Augustin, la pensée n’était pas encore chrétienne ; à l’époque de saint Thomas, il lui manquait encore beaucoup pour l’être. Au lieu d’affirmer que la pensée moderne et contemporaine n’est plus chrétienne, il vaudrait sans doute mieux dire, comme Henri de Lubac, que la pensée n’est pas encore chrétienne. Intervention de Jean-Christophe Bardout 34Les quatre volumes de l’anthologie qui nous réunit relèvent plusieurs défis. 35Avec l’Antiquité, on affronte le risque de traiter d’une période qui ne prononça que rarement le mot théologie », et dans un sens pour le moins équivoque au regard de son usage chrétien. Avec le Moyen-âge, on relève le défi qu’impose l’émergence de la theologia, puis sa constitution comme science autonome, à côté d’une philosophie qui entend maintenir les droits de la raison. Les rapports entre philosophie et théologie dans l’horizon moderne relèvent au moins deux autres défis. 36Le défi de l’indifférence tout d’abord. De nombreux chapitres du volume III contestent une idée reçue. Les Temps modernes, dit-on, marqueraient l’époque de la séparation, de l’autonomisation et finalement du divorce entre raison et foi, entre philosophie et théologie. On entend désormais construire des philosophies pures, libres de toute référence à une théologie, ou des théologies enfin délivrées d’Aristote, ou des épines de la philosophie scolastique. À sa manière, Spinoza illustre cette situation des deux discours, dont chacun s’avère valide en sa sphère, sans devoir jamais rencontrer l’autre. Le présent volume conteste cette représentation sommaire, et montre que philosophies et théologies ont encore à dire, et à se dire. Les contributions ici rassemblées ne visent pas d’abord à éclaircir ce que chaque savoir nous apprend sur lui-même, mais bien ce qu’il dit de l’autre. 37Jusque dans la construction de leur identité, les deux disciplines vivent encore de leur convergence, ou de leur confrontation. 38C’est ainsi par le biais de sa critique de la philosophie scolastique que Luther précise sa conception de la théologie. Mais c’est en interdisant à la philosophie de spéculer sur Dieu que la théologie réformatrice donne naissance à l’ontologie, née en terre protestante. 39Un projet de philosophie athée, comme celui du matérialiste d’Holbach, en passe encore par une critique de la théologie, ne fût-ce que pour préciser la norme de sa propre validité comme philosophie. Et que dire de Nietzsche, dont la pensée se nourrit sans cesse de sa confrontation avec le christianisme et sa théologie ? 40Notre volume relève en outre le défi de la diversité. Nous ne songeons pas ici à la diversité des discours que portent l’une sur l’autre nos deux disciplines, telle que le Moyen-âge l’avait déjà exemplairement illustrée. Il s’agit plutôt de mettre en lumière l’extrême diversité des manières dont l’époque moderne, longue de quatre siècles, a conçu leurs relations. Si les temps modernes héritent du Moyen-âge l’idée d’une distinction formelle entre philosophie et théologie, c’est à la modernité qu’il revient de penser à fond toutes les modalités de leurs relations. 41Un trait saillant de l’époque qui nous retient ici réside dans la volonté, voire la prétention de certaines philosophies à valoir comme théologies. Songeons à Malebranche, qui, par le biais d’une philosophie de la connaissance, enseignait que nous connaissons par les idées de Dieu même, opère une véritable requalification philosophique du fondement même de l’ancienne théologie. Songeons encore à Schelling, qui commente le prologue de l’Évangile de saint Jean, ou à Hegel qui entend faire tenir à la philosophie la fonction d’un savoir absolu, intégrant en lui, comme l’un de ses moments, la religion elle-même. Intervention de Geneviève Hébert 42C’est comme responsable avec Jean Greisch du 4e tome de cette Anthologie que j’ai l’honneur et le plaisir de m’adresser à vous. Jean Greisch vous prie d’excuser son absence. À son grand regret ses responsabilités berlinoises en tant que titulaire de la Chaire Romano Guardini l’ont en effet empêché de venir. Il aurait été heureux d’être avec nous, et je tiens à souligner la part immense, visible et invisible, qu’il a prise dans le projet de cette Anthologie et plus particulièrement dans l’élaboration de ce 4e tome. 43Celui-ci fut une véritable aventure. D’abord quant à son format. Il était, comme ses prédécesseurs dans l’ordre chronologique, initialement prévu en un volume. Mais – et cela ne fut pas vraiment une surprise –, il s’avéra vite que le xxe siècle avait été fécond en penseurs intéressés de façon significative par le rapport Philosophie/Théologie, tant d’un côté que de l’autre. Seuls auraient pu s’en étonner ceux qui précisément n’acceptent pas ou mal le postulat fondamental de notre collection, à savoir le rapport quasi congénital entre la Philosophie et la Théologie dans notre histoire occidentale, et cela jusqu’à aujourd’hui compris. Un volume ne suffirait donc pas, et au fil de notre travail s’ajoutèrent, chapitres après chapitres, 54 notices en tout qui nous amenèrent à diviser ce trop gros volume en deux. Et encore, nous avions inévitablement dû faire des choix, commettant des oublis impardonnables aux yeux de certains … 44La durée de la mise en œuvre de ce 4e tome fut, elle aussi, assez remarquable et nous demanda à Philippe Capelle-Dumont, à Jean Greisch et à moi-même une obstination certaine, vous vous en doutez. Il ne fut pas toujours aisé de faire travailler ensemble, avec les mêmes contraintes éditoriales 42 contributeurs d’une dizaine de nationalités différentes et je ne compte pas ici les traducteurs dont le travail fut pourtant si important. Ni facile d’harmoniser ensuite des notices malgré tout souvent disparates. Aussi, je tiens ici à remercier tous nos collègues et collaborateurs pour avoir accepté et compris nos exigences – elles furent grandes, je le reconnais. 45La limite – car il en fallait bien une – que nous nous étions donnée dans le choix de nos penseurs était qu’ils fussent décédés. Nous pûmes ainsi, hélas devrais-je dire, ajouter certains noms comme celui de notre ami Jean Ladrière. À l’inverse, il fut décidé de faire deux exceptions et d’inclure Jürgen Habermas et Eberhard Jüngel en espérant qu’ils nous pardonneraient de les avoir de leur vivant panthéonisés dans notre Anthologie ! Pourquoi eux, pourquoi pas quelques autres ? Il y a évidemment dans un travail qui touche aux contemporains, une part d’arbitraire et donc d’injustice. Mais que les absents et leurs lecteurs se rassurent. S’il y a un jour, comme on peut l’espérer, une réédition, ils y trouveront place. D’ici là nous leur souhaitons longue vie ! 46Cependant je veux conclure sur ce qui importe le plus à nos yeux je veux dire l’intérêt considérable de cette traversée du xxe siècle. Nous avons essayé de le montrer dans la synthèse qui constitue la longue introduction de ce 4e tome. L’importance et la complexité des déplacements et des réorientations du rapport entre la Philosophie et la Théologie ont été prodigieuses et n’ont pas manqué souvent de nous surprendre. Grâce à la compétence de nos contributeurs, le lecteur pourra le vérifier, s’en étonner et surtout s’en réjouir. Tant de penseurs et pas des moindres ont été en effet réellement concernés par ce rapport Philosophie/Théologie Peirce ou James, Husserl, Whitehead, Weber, Scheler, Bloch, Schmitt, Benjamin, Adorno, Merleau-Ponty, Henry, Derrida, etc., etc. Impossible de les mentionner tous ici. Mais voilà qui paraît bien augurer du travail à venir. Comment ne pas souhaiter que le xxie siècle ne prenne la suite, rivalisant sur ce point avec le siècle précédent ? C’est là le vœu que j’adresse à tous, et en particulier à nos jeunes collègues, à nos étudiants et aux générations à venir qu’un 5e tome puisse plus tard voir le jour ! Intervention du professeur Jean-Luc Marion 47Il me revient le rôle de parler en dernier. Je serai donc bref, en soulignant quelques évidences telles qu’elles apparaissent, ce grand-œuvre étant maintenant achevé. 48Le titre de ces quatre tomes Philosophie et théologie » est lui-même, à bien y songer, et après la pratique de leur contenu, problématique. Problématique parce que si philosophie peut avoir un sens obvie, on s’aperçoit que théologie n’en a pas. Comme l’indiquent d’ailleurs les deux préfaciers du premier volume, une chose tout à fait étrange doit être soulignée, c’est que pendant presque deux des quatre volumes, les théologiens n’emploient pas le mot théologie. C’est à dire que ce que nous appelons la grande tradition théologique se caractérise par le fait que personne – sinon les païens qui d’ailleurs se le voyaient reprocher par les chrétiens – n’utilise le terme théologie, qui ne s’impose finalement que tardivement, avec Abélard explicitement, et sans doute un peu après, dans la pratique réelle de ladite discipline. 49Et c’est encore plus étrange de voir comment, même quand le terme est admis, il subit des réformes et des déplacements tout à fait conséquents dans son histoire plus moderne. Donc le terme de théologie lui-même est étrange. Et il est étrange aussi pour une seconde raison, c’est que si la grande théologie, la grande tradition théologique comme on a raison de le dire, n’a pas employé le mot théologie, si peut-être le mot théologie a été employé à partir du moment où la théologie est entrée dans un rapport aujourd’hui discutable avec la philosophie, selon le rêve d’une espèce de concordat intellectuel qui a occupé finalement la période baroque, on peut remarquer aussi que la théologie a passé son temps à subir une crise d’identité qui lui est sans doute constitutive. 50Une remarque sur ce premier point il y a – tous les historiens de la pensée, je crois en conviendront – une règle non-écrite qui veut que dans l’histoire des concepts, le concept apparaît quand la chose n’y est déjà plus. Je ne sais pas si ceci vaut pour la théologie, mais il est très frappant de voir par exemple qu’en philosophie, le terme de métaphysique ne s’impose, qu’en un sens, à partir du xive siècle et des Quaestiones Metaphysicae de Dun Scot. C’est à dire au moment où, pour beaucoup, la tradition métaphysique au sens strict entre en crise. De la même manière, la question d’ontologie, le concept d’ontologie, n’apparaît que dans la première moitié du xviie siècle, au moment peut-être où la question de l’étant est définitivement subordonnée à la question de la connaissance de l’étant, à la question du pensable. N’est-il pas surprenant aussi que, comme chacun sait, saint Thomas d’Aquin ait pour ainsi dire oublié d’écrire, ne fut-ce qu’une seule fois dans son corpus, analogia entis. Il aurait pu y penser, vu les développements que cette question a suscités parmi ceux qui se réclament de sa tradition, et curieusement il a oublié d’employer ne fut-ce qu’une fois le syntagme analogia entis. La théologie est donc le cas d’un symptôme beaucoup plus vaste sur lequel il faudrait se pencher comme tel. 51Cette remarque étant faite, bien que la philosophie ne soit pas la contrepartie de la théologie, bien que la comparaison elle-même, historiquement, des deux termes puisse être discutée, et le soit d’ailleurs au terme de ces quatre volumes, on peut remarquer – et là je prendrais la suite des remarques faites par Marcel Gauchet – quatre points pourquoi la philosophie ne peut-elle pas se passer de l’étude de la théologie ? D’abord pour une raison strictement herméneutique la philosophie ne peut pas se séparer de l’histoire de la philosophie. L’exemple de certains philosophes contemporains, qui ont voulu s’excepter de cette exigence confirme a contrario que c’est un risque désastreux. Mais l’histoire de la philosophie ne peut pas se séparer de l’histoire de la théologie, et nous en avons confirmation dans ces quatre volumes. En effet, un certain nombre de débats philosophiques ne peuvent se détacher de l’origine théologique de leur question. Comme historien de la philosophie, j’ai pu constater à quel point la philosophie classique du xviie siècle était directement l’héritière de la question de l’analogie de l’étant, de la question de la transcendance du fondement, et que sans cette question de l’analogie de l’étant, dans ses soubassements théologiques, les grands débats du xviie siècle devenaient inintelligibles. Et en une génération sans doute, cela est devenu une évidence, au point que depuis vingt, trente ans, l’histoire de la philosophie du xviie siècle – mon port d’attache, mon point de départ et ma nostalgie sans cesse renouvelée – se fonde sur la lecture, non pas seulement des théologiens médiévaux, mais de Suarez et de ses contemporains. Désormais il est acquis qu’on ne peut pas étudier la philosophie du xviie siècle sans connaître assez bien Suarez. Simplement parce que tous les grands philosophes de cette période avaient lu Suarez et en parlait le langage couramment. L’élargissement des horizons devient une exigence herméneutique de l’histoire de la philosophie et de l’histoire des idées, et le facteur essentiel de l’élargissement des horizons, c’est la reconnaissance de l’horizon théologique de l’histoire de la philosophie. Et c’est ce que confirment de manière massive, non seulement les quatre volumes, mais la méthodologie dont ils procèdent. 52Second point comme on vient de l’indiquer, il y a toujours un rapport critique entre la philosophie et la théologie. La question est de savoir comment joue ce rapport critique. La thèse la plus commune – et Marcel Gauchet a bien montré qu’elle était problématique – est d’imaginer que l’instance critique est tenue par la philosophie à l’encontre de la théologie. Et que la théologie doit résister à l’avancée sans cesse reprise de la critique, entendue en un sens polémique – ou en un sens kantien, finalement peu importe. 53On peut se demander si c’est toujours le cas dans les pratiques réelles. Mon sentiment est que la théologie exerce elle aussi une fonction critique. Ceci est particulièrement vrai lors de la constitution des dogmes christologiques et trinitaires durant la période patristique du ive au viiie siècle. Comment pouvons-nous définir les hérésies face à la position orthodoxe ? Je veux dire, y a-t-il des constantes intellectuelles permettant de justifier une telle distinction ? J’en proposerai une qui semble se vérifier régulièrement l’hérésie est toujours une bonne philosophie. Non que la philosophie soit hérétique, ça n’est pas du tout ce que je veux dire. Je veux dire que l’application des procédures régulières de la philosophie contemporaine à tel ou tel point de l’interprétation du Credo des chrétiens conduit – en utilisant des solutions simples et éprouvées par la philosophie contemporaine – à l’hérésie. Qu’est-ce que l’arianisme sinon l’application presque mécanique et tout à fait logique du système de l’émanation à la révélation chrétienne ? Qu’est-ce que le modalisme, ou le monothélisme, sinon le souci de respecter le principe d’identité ? Qu’est-ce que l’eschatologie marxiste – ou plus précisément qu’est-ce que l’effet du marxisme sur l’eschatologie chrétienne – sinon l’interprétation elle-même historique de l’eschatologie, au lieu d’une interprétation eschatologique de l’histoire ? Je veux dire que l’hérésie est une bonne philosophie, appliquée à des problèmes que la philosophie ne peut, je ne dis pas résoudre, mais même poser. 54Quelle est donc la caractéristique de la bonne théologie, la théologie orthodoxe, face à l’hérésie ? La position orthodoxe face à l’hérésie consiste – voyant les conséquences et les implications à terme néfastes pour la vie chrétienne du schéma philosophique appliqué à des questions relevant de la Révélation – la bonne théologie consiste à critiquer, c’est à dire à compliquer les schémas issus de la philosophie, avant de les utiliser dans l’exposé du dogme. Il faut compliquer, à chaque fois, par exemple l’usage des catégories. Un très bon exemple a été donné par le père Sesboüé dans ses travaux savants sur le Contre Eunome de Basile de Césarée, montrant comment – mais on peut le montrer sur bien d’autres hérésies de l’époque – comment Eunome et tous les ariens étaient de fidèles usagers de la doctrine des catégories d’Aristote et n’envisageaient pas que l’on puisse y renoncer de quelque manière que ce soit. Il se pourrait que le rôle de la théologie soit un rôle critique à l’égard des dogmes de la métaphysique, et l’histoire racontée par ses quatre volumes semblerait donner du poids à ce paradoxe. 55Mais alors si la fonction critique ne s’exerce pas seulement de la part de la philosophie à l’encontre de la théologie mais parfois – et peut-être aussi souvent – de la part de la théologie à l’encontre de la philosophie, ne faudrait-il pas concevoir la critique autrement que comme une simple résistance des Lumières à la prétention de la théologie ? C’est ce nouveau point sur lequel je voudrais insister. On peut se demander en effet si la crise de la fin de la métaphysique et les conséquences qu’elle a entraînées dans l’histoire la plus empirique – je veux dire le phénomène extraordinaire des guerres mondiales et des tentatives d’autodestruction partielle ou totale de l’humanité – on pourrait se demander dis-je, quel rapport il y a entre la violence et l’accomplissement de la métaphysique. Se demander si, tandis que les Lumières dénonçaient la dérive religieuse de la Théologie, nous n’avons pas assisté en parallèle à une dérive violente de la rationalité elle-même, sous la figure des guerres de destruction, sous la figure des tensions sociales, et sous la figure après tout récente de la raison devenant l’idéologie et provoquant, permettant, s’achevant dans le totalitarisme. Il y a un rapport direct entre le totalitarisme et le virage idéologique de la métaphysique elle-même. Et c’est ici que la fonction critique de la théologie peut intervenir. J’espère que dans le dernier volume, on insistera sur le rôle politique retrouvé de la théologie et des théologiens au xxe siècle. J’entends par rôle politique le fait que les théologiens, de Barth à Bonhoeffer et beaucoup d’autres, ont dû, pour parler comme théologiens, prendre une posture de résistance politique qui ne devait rien au hasard, et dont ils ont fait la théorie presque involontairement, qui est la résistance au totalitarisme et à la dérive idéologique du rationalisme dans sa figure métaphysique. Je pense que c’est une des formes essentielles du rapport entre philosophie et théologie. 56Ce qui est très intéressant, c’est que ce rapport critique de la théologie mise en œuvre dans la problématique du témoignage résistant à l’idéologie – elle-même rendue possible par une dérive philosophique et par la violence qui s’ensuit – ne caractérise pas seulement la fin de la période historique que nous connaissons – je veux dire la fin du xxe siècle – mais a caractérisé les deux premiers siècles de l’expérience chrétienne. C’est à dire la période du martyr, de Justin et de toutes les apologies de Justin qui sont très curieusement la première confrontation entre la théologie et la philosophie, où les chrétiens – alors qu’ils sont dans un conflit qui va jusqu’au martyr – face à des empereurs comme Marc Aurèle qui revendiquent le titre de philosophe, revendiquent eux-mêmes le ce titre, et n’emploient pas le mot théologie. Je rappelle cette formulation extraordinaire de Justin au n° 7 de la première de ses Apologies – donc en 165 à peu près – disant ce que les philosophes sont chez les grecs, chez les barbares, ce sont nous les chrétiens qui le sommes. C’est à dire que les chrétiens sont les plus rationnels des barbares, et c’est pourquoi face à la violence qui les oppose aux empereurs, c’est à dire à un système politique sinon déjà totalitaire, du moins déjà globalisant et hégémonique, les chrétiens se dressent et réclament la liberté d’honorer le vrai Dieu au nom de la rationalité, c’est à dire au nom de la philosophie. Et cette situation des trois premiers siècles, où les chrétiens sont minoritaires et défendent leur position au nom d’une rationalité, en prenant pour eux-mêmes le nom de philosophe, définit relativement bien la situation dans laquelle se trouvent les chrétiens aujourd’hui. Ce qui veut dire que le rapport entre philosophie et théologie – ce rapport, cette question, ce titre qui fait l’objet de toute cette collection – redevient un enjeu absolument essentiel. 57La religion de la sortie de la religion est évidemment le christianisme, pour autant qu’il est une religion, ce qui n’est pas sûr, et ce que montre très bien le rapport complexe, illustré par ces quatre Tomes, entre philosophie et théologie. Il faut donc féliciter les directeurs de volumes, et celui qui les a rassemblés, le père Philippe Capelle-Dumont, pour un ensemble dont je dirais bien volontiers avec Marcel Gauchet qu’il arrive exactement au moment où il sera le plus utile.
Toute vérité n'est pas bonne à dire" (Beaumarchais) Publié le 18 mars 2020 par JoSeseSeko. Photo: Flickr/Epjt Tours. Depuis la publication de l'entretien-confession d'Agnès Buzyn au Monde, indiquant, d'après elle, que le gouvernement savait comme le Coronavirus allait contaminer nombre de français(es) sans oser bouger, une affaire d'État s'est développée pendant que
Versets les plus Pertinents Jean 832 vous connaîtrez la vérité, et la vérité vous affranchira. 1 Timothée 315 mais afin que tu saches, si je tarde, comment il faut se conduire dans la maison de Dieu, qui est l'Église du Dieu vivant, la colonne et l'appui de la vérité. 2 Corinthiens 67 par la parole de vérité, par la puissance de Dieu, par les armes offensives et défensives de la justice; 2 Timothée 225 il doit redresser avec douceur les adversaires, dans l'espérance que Dieu leur donnera la repentance pour arriver à la connaissance de la vérité, Psaumes 516 Mais tu veux que la vérité soit au fond du coeur Fais donc pénétrer la sagesse au dedans de moi! Proverbes 1217 Celui qui dit la vérité proclame la justice, Et le faux témoin la tromperie. 1 Jean 16 Si nous disons que nous sommes en communion avec lui, et que nous marchions dans les ténèbres, nous mentons, et nous ne pratiquons pas la vérité. Jean 146 Jésus lui dit Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. Jean 321 mais celui qui agit selon la vérité vient à la lumière, afin que ses oeuvres soient manifestées, parce qu'elles sont faites en Dieu. 2 Corinthiens 42 Nous rejetons les choses honteuses qui se font en secret, nous n'avons point une conduite astucieuse, et nous n'altérons point la parole de Dieu. Mais, en publiant la vérité, nous nous recommandons à toute conscience d'homme devant Dieu. Actes 2030 et qu'il s'élèvera du milieu de vous des hommes qui enseigneront des choses pernicieuses, pour entraîner les disciples après eux. Éphésiens 415 mais que, professant la vérité dans la charité, nous croissions à tous égards en celui qui est le chef, Christ. Jean 173 Or, la vie éternelle, c'est qu'ils te connaissent, toi, le seul vrai Dieu, et celui que tu as envoyé, Jésus Christ. Apocalypse 37 Écris à l'ange de l'Église de Philadelphie Voici ce que dit le Saint, le Véritable, celui qui a la clef de David, celui qui ouvre, et personne ne fermera, celui qui ferme, et personne n'ouvrira Apocalypse 167 Et j'entendis l'autel qui disait Oui, Seigneur Dieu tout puissant, tes jugements sont véritables et justes. 2 Corinthiens 68 au milieu de la gloire et de l'ignominie, au milieu de la mauvaise et de la bonne réputation; étant regardés comme imposteurs, quoique véridiques; Jean 423 Mais l'heure vient, et elle est déjà venue, où les vrais adorateurs adoreront le Père en esprit et en vérité; car ce sont là les adorateurs que le Père demande. Jean 532 Il y en a un autre qui rend témoignage de moi, et je sais que le témoignage qu'il rend de moi est vrai. Jean 813-18 Là-dessus, les pharisiens lui dirent Tu rends témoignage de toi-même; ton témoignage n'est pas vrai. Jésus leur répondit Quoique je rende témoignage de moi-même, mon témoignage est vrai, car je sais d'où je suis venu et où je vais; mais vous, vous ne savez d'où je viens ni où je vais. Vous jugez selon la chair; moi, je ne juge si je juge, mon jugement est vrai, car je ne suis pas seul; mais le Père qui m'a envoyé est avec moi. Il est écrit dans votre loi que le témoignage de deux hommes est vrai; je rends témoignage de moi-même, et le Père qui m'a envoyé rend témoignage de moi. Jean 1041 Beaucoup de gens vinrent à lui, et ils disaient Jean n'a fait aucun miracle; mais tout ce que Jean a dit de cet homme était vrai. Topics on Vérité Contre la vérité Romains 118 La colère de Dieu se révèle du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes qui retiennent injustement la vérité captive, Dire la vérité Éphésiens 415 mais que, professant la vérité dans la charité, nous croissions à tous égards en celui qui est le chef, Christ. Faire la Vérité Michée 720 Tu témoigneras de la fidélité à Jacob, De la bonté à Abraham, Comme tu l'as juré à nos pères aux jours d'autrefois. L'Esprit De La Vérité Jean 1613 Quand le consolateur sera venu, l'Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu'il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir. La Vérité De Dieu Exode 346 Et l'Éternel passa devant lui, et s'écria L'Éternel, l'Éternel, Dieu miséricordieux et compatissant, lent à la colère, riche en bonté et en fidélité, Le Christ Disant la Vérité Matthieu 2216 Ils envoyèrent auprès de lui leurs disciples avec les hérodiens, qui dirent Maître, nous savons que tu es vrai, et que tu enseignes la voie de Dieu selon la vérité, sans t'inquiéter de personne, car tu ne regardes pas à l'apparence des hommes. Marcher dans la vérité 1 Rois 24 et afin que l'Éternel accomplisse cette parole qu'il a prononcée sur moi Si tes fils prennent garde à leur voie, en marchant avec fidélité devant moi, de tout leur coeur, et de toute leur âme, tu ne manqueras jamais d'un successeur sur le trône d'Israël. Connaître la vérité de Dieu Dire La Vérité Dire la vérité Faire la Vérité Honnêteté La Vie Éternelle Never miss a post
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Monsieur le Président, le rapport sur les priorités politiques dans le cadre de la lutte contre l’immigration illégale de ressortissants de pays tiers que nous venons d’approuver n’est certainement pas le pire des rapports que nous ayons adopté ici et il contient effectivement un certain nombre de recommandations très intéressantes, bien que je pense encore que le rapport omet de dire toute la vérité, c’est pourquoi je ne l’ai personnellement pas approuvée. Signor Presidente, la relazione che abbiamo appena adottato sulle priorità politiche nella lotta contro l’immigrazione clandestina di cittadini provenienti da paesi terzi non è certamente la peggior relazione che sia stata approvata in questa sede e, in realtà, contiene diverse raccomandazioni interessanti, ma penso pur sempre che la relazione non racconti a chiare lettere tutta la vicenda, per cui io stesso non l’ho approvata. C’est pourquoi nous pouvons dire en toute bonne foi que nous ne réussirons pas à atteindre les objectifs de la stratégie Europe 2020» si nous ne soutenons pas les petites et moyennes entreprises et si nous ne leur permettons pas d’exploiter pleinement le marché unique. Possiamo quindi dire a ragion veduta che non riusciremo a conseguire gli obiettivi della strategia Europa 2020 se non sosterremo le piccole e medie imprese e non renderemo loro più facile sfruttare appieno le opportunità offerte dal mercato unico. Pour dire la vérité, c'est toute l'Union européenne qui manque d'une culture de protection civile, un sujet qui, bien souvent, ne dépasse pas le stade des tables rondes et des promesses électorales, alors que c'est le droit de tout un chacun à la sécurité qui est en jeu. Manca ancora, diciamoci la verità, manca ancora complessivamente nell’Unione europea una cultura della protezione civile che spesso resta solo tema di tavole rotonde e di impegni elettorali, eppure si tratta del diritto alla sicurezza di ognuno di noi. Pourrait-elle confirmer que les documents demandés contiennent des informations donnant à entendre que le commissaire Lamy avait déjà rencontré des fonctionnaires de la Commission en 1997 et que sa déclaration dans la réponse à ma question écrite E-1174/01 4 , confirmée et corroborée par la Commission, à savoir qu’il n’aurait, à l’époque où il était membre du conseil d’administration du Crédit Lyonnais, rencontré qu’une seule fois des fonctionnaires de la Commission entre le 1er et le 3 mai 1998, n’est donc pas conforme à la vérité? Può la Commissione confermare che i documenti da me richiesti contengono indicazioni secondo cui il Commissario Lamy ha incontrato funzionari della Commissione già nel 1997 e che pertanto non corrisponde a verità la sua affermazione confermata e ribadita nella risposta alla mia interrogazione scritta E-1174/01 4 , ossia che durante il suo mandato in quanto membro della presidenza del Crédit Lyonnais ha incontrato ufficialmente funzionari della Commissione solo una volta dall’1 al 3 maggio 1998? La directive 2002/24/CE 1 , plus spécifiquement son article 1er, paragraphe 1, sous d, aux termes duquel la directive ne s’applique pas aux véhicules destinés aux compétitions, sur route ou tout terrain, doit-elle être interprétée en ce sens qu’elle permet aux États membres d’élargir son champ d’application, donc de la rendre applicable à toute circulation par terre c’est-à-dire à l’utilisation de véhicules à moteur à deux ou trois roues également hors de la voie publique et sur des terrains privés en n’accordant pas l’exception pour les véhicules qui sont destinés aux compétitions sur route course ou pour les véhicules tout terrain? Se la direttiva 2002/24/CE 1 , e segnatamente il suo art. 1, n. 1, lett. d ossia la direttiva non si applica a veicoli destinati alle competizioni, su strada o fuori strada debba essere interpretata nel senso che essa consente agli Stati membri di ampliare l’ambito di applicazione della direttiva stessa, quindi di renderla applicabile a tutto il traffico di superficie ossia all’uso di veicoli a motore a due o tre ruote, anche al di fuori della pubblica via e/o su terreno privato, senza consentire la deroga per veicoli destinati alle competizioni corse o per i veicoli fuori strada. Cependant, malgré les multiples déclarations de bonne intention, l’engagement solennel contracté en 1974 de consacrer 0,7 % du PNB à l’aide publique au développement, malgré le fait que la banque mondiale a considéré récemment qu’il est nécessaire de doubler les ressources destinées à l’aide publique, la vérité est que cette aide ne dépasse guère 0,22 % dans les pays de l’OCDE, ce qui représente le niveau le plus bas de tous les temps, avec une diminution approximative de 25 % au cours de la dernière décennie. Tuttavia, nonostante le molteplici dichiarazioni di intenti e l'impegno solenne, assunto nel 1974, di fissare come obiettivo dell'aiuto pubblico allo sviluppo lo 0,7 per cento del PIL e nonostante la Banca mondiale abbia recentemente ritenuto necessario raddoppiare le risorse destinate all'aiuto pubblico, la verità è che non va oltre lo 0,22 per cento nei paesi dell'OCSE, il tasso più basso di tutti i tempi, sceso di circa il 25 per cento nell'ultima decade, e attualmente non oltrepassa lo 0,32 per cento negli Stati membri dell'Unione europea. Le président enjoint les personnes appelées à prêter serment devant le Tribunal en qualité de témoins ou d'experts de dire la vérité ou de remplir leur mission en conscience et en toute impartialité, et attire leur attention sur les conséquences pénales prévues par leur législation nationale en cas de violation de ce devoir. Qualora il diritto nazionale del testimone o del perito preveda, in materia di procedura giudiziaria, accanto al giuramento, o in sua vece, o congiuntamente ad esso, la possibilità di fare una dichiarazione che lo sostituisca, il testimone e il perito possono fare questa dichiarazione alle condizioni e nelle forme prescritte dal loro diritto nazionale. Même si le présent règlement n'a ni pour objet ni pour effet de modifier les législations nationales en matière d'accès aux documents, il est, toutefois, évident qu'en vertu du principe de coopération loyale régissant les rapports entre les institutions et les États membres, ces derniers devraient veiller à ne pas porter atteinte à la bonne application du présent règlement et respecter les règles de sécurité des institutions. Tuttavia, è evidente che in virtù del principio di cooperazione leale nelle relazioni tra le istituzioni e gli Stati membri, questi dovranno fare in modo di non pregiudicare la corretta applicazione del presente regolamento e di rispettare le norme di sicurezza delle istituzioni. Est-elle convenue, comme les organisations américaines de protection des consommateurs et les concurrents de Microsoft, que ces accords, tout en constituant un pas important dans la bonne direction, ne garantissent pas de façon absolue qu’il ne sera plus possible d’utiliser les données récoltées, d’autant que Microsoft a, dans le passé, nié l’existence de plusieurs des possibilités qui s’avèrent exister aujourd’hui et continue encore toujours de faire valoir l’intérêt, pour les consommateurs, d’un stockage de leurs données pendant 90 jours sans leur consentement? Condivide essa l’opinione delle organizzazioni americane dei consumatori e dei concorrenti di Microsoft secondo cui dette intese, pur costituendo un passo importante nella buona direzione non forniscono alcuna ferrea garanzia sul mancato utilizzo dei dati raccolti in futuro, tanto più che la Microsoft si è limitata a smentire solo una parte delle attuali possibilità continuando ad insistere sui vantaggi per gli utenti risultanti dalla memorizzazione non richiesta dei loro dati durante 90 giorni? Pour pouvoir être compétitifs face aux autres modes de transport, les services ferroviaires internationaux et nationaux de fret, ouverts à la concurrence depuis le 1er janvier 2007, doivent pouvoir bénéficier d'une infrastructure ferroviaire de bonne qualité, c'est-à-dire qui permet la fourniture de services de transport de marchandises dans de bonnes conditions en termes de vitesse commerciale et d'horaire de parcours, et fiable, c’est-à-dire que le service qu'elle fournit effectivement correspond aux engagements contractuels pris avec les opérateurs ferroviaires. Per essere competitivi rispetto agli altri modi di trasporto, i servizi ferroviari nazionali e internazionali di trasporto merci, aperti alla concorrenza dal 1o gennaio 2007, dovrebbero poter beneficiare di un'infrastruttura ferroviaria di buona qualità, che garantisca in particolare la fornitura di servizi di trasporto merci in buone condizioni per quanto riguarda la velocità commerciale e i tempi di percorrenza e dovrebbe essere affidabile, nel senso che il servizio da essi fornito corrisponda effettivamente agli impegni contrattuali sottoscritti con gli operatori ferroviari. Monsieur le Président, Monsieur le Commissaire, mes chers collègues, je voudrais, en ce qui concerne la directive relative aux jus de fruits, marquer notre accord avec la proposition du Conseil, qui nous paraît aller dans la bonne direction, c'est-à-dire celle de la protection effective des consommateurs auxquels doit être fournie une information claire, aisément compréhensible et objective leur permettant de choisir en toute connaissance de cause, aussi bien en termes de qualité qu'en termes de sécurité alimentaire. Signor Presidente, signor Commissario, onorevoli colleghi, in relazione alla direttiva sui succhi di frutta vorrei sottolineare che condividiamo la proposta del Consiglio poiché essa si muove, a nostro avviso, nella direzione giusta. La proposta tende cioè ad un’efficace tutela dei consumatori, cui vanno fornite informazioni chiare, facilmente comprensibili ed obiettive che consentano loro di operare una scelta con cognizione di causa, sia in termini di qualità che di sicurezza alimentare. Nonobstant l’importance de la protection du public contre de mauvais conseils, la Commission reconnaîtelle désormais que, en l’absence de toute distinction dans la directive entre les tentatives délibérées de manipulations de marché en vue de profits personnels et la non-transmission d’informations en toute bonne foi, cette directive, appliquée sous sa forme actuelle, s’avérerait non seulement restrictive mais aussi incompatible avec les dispositions de la Convention européenne des droits de l’homme relatives à la liberté d’expression et avec l’obligation faite aux États membres de respecter cette Convention, comme indiqué à l’article 6 de la version consolidée du traité sur l’Union européenne? Ferma restando l’importanza di tutelare il pubblico da informazioni scorrette, la Commissione riconosce che la mancata distinzione, nella direttiva, tra tentativi deliberati di manipolare i mercati a fini di guadagno personale e mancata fornitura di informazioni in buona fede renderebbe l’applicazione della direttiva nella sua forma attuale non soltanto oppressiva ma anche incoerente con le disposizioni della Convenzione europea per la salvaguardia dei diritti dell’uomo concernenti la libertà di espressione e con l’obbligo degli Stati membri di rispettare la Convenzione, come enunciato all’articolo 6 del trattato consolidato sull’Unione europea? Cela dit, il va de soi, Monsieur le Président, mais surtout Madame la Commissaire, que ce Parlement est préoccupé par la situation du comptable de la Commission, et je dois dire franchement - même moi qui, comme vous le savez, observe toujours une attitude prudente face aux "scandales" - que certaines décisions, comme celle de ce matin, n'aident pas, à mon avis, la Commission à montrer qu'elle peut proposer une réforme du système comptable valable, et ce en toute bonne fois. Ciò premesso, va da sé, signor Presidente, e soprattutto signora Commissario, che il Parlamento nutre preoccupazione in merito alle sorti del contabile della Commissione e, francamente, perfino io, che, come è noto, mantengo sempre un atteggiamento prudente di fronte agli “scandali”, devo dire che talune decisioni, quali quella di stamane, a mio giudizio non aiutano la Commissione a dimostrare che è in grado di proporre una valida riforma del sistema contabile, e ciò in assoluta buona fede. Sur le plan matériel, les ordres juridiques contiennent des règles de protection du consommateur ou de la partie dite la plus faible travailleur, assuré ou preneur d'assurance, non pas, en vérité, dans un souci de leur prodiguer des avantages qui dépasseraient ce qui leur serait dû devant les tribunaux, mais plutôt dans un souci de rétablir l'équilibre et la proportion propres au rapport d'obligation inhérent à toute relation contractuelle. Il en va de même en DIP l'orientation consistant à protéger la partie dite la plus faible a eu pour strict objectif d'assurer dans la pratique le respect de la téléologie des règles dans ce domaine, en évitant de dénaturer le droit des conflits comme cela pourrait être le cas si le choix de la loi applicable cachait, sous l'apparence de la liberté des parties en la matière, un choix unilatéral de la lex contractus par la partie la plus forte par exemple le professionnel, le patron, l'employeur, etc. Dato che sul piano materiale i vari ordinamenti prevedono norme di protezione del consumatore o della parte ritenuta più debole lavoratore, assicurato o detentore di una polizza di assicurazione non tanto per blandirla con vantaggi superiori a quelli che gli sarebbero dovuti da un tribunale, quanto per ristabilire l'equilibrio e la proporzione propri dell'elemento di obbligo su cui si basa qualsiasi rapporto contrattuale, anche nel DIP, l'orientamento volto a proteggere la parte più debole ha scelto come obiettivo specifico quello di assicurare un effettivo rispetto della teleologia delle norme di conflitto in questa materia, evitando la distorsione del diritto conflittuale che potrebbe derivare dalla scelta della legge applicabile. Ma seule limite, pour dire la vérité, et je ne la franchirai pas, c'est que je dois rendre des comptes, des comptes justes, quelquefois très précis, sur quelques milliers d'euros à la fois à l'autorité de contrôle budgétaire qu'est le Parlement européen, et à la Cour des comptes. Il mio unico limite, a dire la verità, e non intendo violarlo, è che devo presentare conti precisi, a volte molto precisi, che rispondano della gestione di migliaia di euro sia all'autorità di controllo del bilancio, cioè il Parlamento europeo, che alla Corte dei conti. Il est dur de croire et très difficile d’accepter ce que la Commission dit alors que l’Union européenne n’a pas encore décidé de faire le ménage dans les banques européennes et de dire aux épargnants, aux producteurs et à l’économie réelle toute la vérité sur les banques européennes, afin de mettre au point une stratégie. È poco credibile e molto difficile accettare le indicazioni della Commissione, nel momento in cui l'Unione europea non ha ancora deciso di fare pulizia nelle banche europee e di dire ai risparmiatori, ai produttori, all'economia reale, quanta porcheria c'è ancora nelle banche europee, per fare una strategia. Vous n'osez cependant pas lancer ce message aux Britanniques car, lorsque ceux-ci se trouveront devant la vérité toute nue, ils voteront massivement pour sortir de l'UE, en emportant avec eux la contribution annuelle de 18 milliards d'euros versée à l'UE avec l'argent des contribuables du pays. Ma non osate metterla in pratica con il popolo britannico poiché, se viene detta loro la pura e semplice verità, voteranno in modo indipendente, fuori dall’Unione europea, tenendosi i loro contributi annuali comunitari di 18 miliardi di euro dei loro contribuenti. Toutefois, les entreprises ne devraient pas être pénalisées pour avoir subi ex post des pertes lorsque la décision ex ante d'adopter un tel comportement a été prise de bonne foi, c'est-à-dire si elles peuvent produire des preuves déterminantes de ce qu'elles pouvaient raisonnablement escompter une activité rentable. Le imprese non dovrebbero tuttavia essere penalizzate per aver sostenuto perdite ex post quando la decisione ex ante di adottare il comportamento è stata presa in buona fede, ossia se possono fornire prove inoppugnabili del fatto che potevano ragionevolmente prevedere che l'attività sarebbe stata redditizia. Si la CE devait qualifier partiellement ou totalement [le contrat cadre] d'aide d'État et dans l'hypothèse et pour autant que cette aide soit déclarée incompatible avec le marché commun, alors les Parties discuteront en toute bonne foi de la faisabilité des éventuelles mesures supplémentaires demandées vis-à-vis d'IFB, mais sans obligation de mettre ces mesures supplémentaires ou adaptées à exécution si les circonstances dans lesquelles l'aide doit être apportée sont considérées comme absolument injustifiées. Se la CE dovesse qualificare parzialmente o totalmente [il contratto quadro]aiuto di Stato e nell'ipotesi e a condizione che tale aiuto sia dichiarato incompatibile con il mercato comune, le Parti discuteranno in perfetta buona fede della fattibilità delle eventuali misure supplementari richieste nei confronti di IFB, ma senza l'obbligo di eseguire tali misure supplementari o adattate, se le circostanze nelle quali deve essere concesso l'aiuto, sono considerate assolutamente ingiustificate. Des offres pourraient ainsi être déposées en toute bonne foi par des opérateurs au cours desdites semaines alors qu’aucune réunion du comité de gestion n’est prévue. Gli operatori potrebbero quindi in perfetta buona fede presentare offerte nelle settimane suddette, nel corso delle quali non sono previste riunioni del comitato di gestione. Selon les autorités espagnoles, les accords ne contiennent pas d'éléments d'aide ou de subvention de l'État, selon la définition qui en est donnée à l'article 81 du texte révisé de la loi générale sur le budget c'est-à-dire toute mise à disposition gratuite de ressources publiques par l'État ou ses organes autonomes au profit de personnes morales, publiques ou privées, ou de personnes physiques afin de promouvoir une activité à caractère social ou de faciliter la réalisation d'un objectif public, ou, d'une manière plus générale, toute forme d'aide accordée et imputée au budget de l'État ou de ses organes autonomes, de même que les subventions ou les aides financées, en tout ou en partie, grâce à des ressources de la Communauté. Secondo le autorità spagnole, gli accordi non costituiscono un aiuto o una sovvenzione da parte dello Stato infatti la definizione di aiuto e di sovvenzione, contenuta nell'articolo 81 del testo modificato della legge generale di bilancio, fa riferimento a qualunque erogazione libera di fondi pubblici da parte dello Stato o di suoi organismi autonomi a favore di individui o entità di carattere pubblico o privato per promuovere un'attività d'interesse sociale o per agevolare il conseguimento di una finalità pubblica, o, in senso più generale, qualunque forma d'aiuto concessa a carico del bilancio dello Stato o di suoi organismi autonomi, nonché le sovvenzioni o gli aiuti finanziati in parte o interamente dai fondi dell'UE. Il est temps de le faire reconnaître et de dire ouvertement et publiquement la vérité sur les blocages nationaux, sur les retards pris concernant ce qui est appliqué, sur ce qui ne l’est pas, ainsi que sur la volonté réelle du Conseil des ministres. E’ giunto il momento di far riconoscere e di dire apertamente e pubblicamente la verità sugli ostacoli opposti da singoli paesi, sui ritardi riguardo a ciò che viene o non viene applicato e sulla reale volontà del Consiglio dei ministri. C’est pourquoi j’espère toujours que le Parlement adoptera ce rapport à une large majorité, afin d’encourager les États membres à accomplir leur devoir institutionnel et moral en faisant toute la vérité et en rendant les règles plus sévères à l’avenir, à commencer par les règles régissant les services secrets. Ecco perché io continuo ad augurarmi che il Parlamento europeo si esprima con un’ampia maggioranza, affinché incoraggi gli Stati membri, adempiendo a un dovere istituzionale e morale, ad accertare tutta la verità e a cambiare le regole per il futuro, a cominciare da quelle che disciplinano i servizi segreti. Nous devons nous demander ce qu’il est utile de faire vis-à-vis de la Turquie vaut-il mieux nous montrer parfaitement sincères et nous diriger rapidement vers une forme de partenariat privilégié englobant toute la région méditerranéenne, ou vaut-il mieux continuer de gagner du temps et de retarder indéfiniment notre décision, jusqu’à ce que les Turcs eux-mêmes, par fierté, finissent par nous dire non» une bonne fois pour toutes, compliquant ainsi encore plus la situation en Méditerranée? Dobbiamo chiederci che cosa vale la pena fare nei confronti della Turchia vale la pena essere sinceri fino in fondo e muoversi con velocità verso forme di partenariato privilegiato che riguardano tutta l’area del Mediterraneo? O vale la pena continuare a traccheggiare, a rimandare in modo indefinito nel tempo perché siano i turchi, magari, provvisti del loro grande orgoglio, a dirci “no” per sempre e complicare ulteriormente la situazione nel Mediterraneo? Le propriétaire certifie en toute bonne foi que toutes les informations fournies à l'organisme agréé concernant le maintien de la navigabilité de l'aéronef sont et seront exactes et que l'aéronef ne sera pas modifié sans approbation préalable de l'organisme agréé. possedere l'equipaggiamento e gli attrezzi, specificati nei dati di manutenzione di o l'attrezzatura equivalente verificata, così come elencata nel manuale dell'impresa di manutenzione, necessari per effettuare gli interventi di manutenzione quotidiani stabiliti nell'oggetto dell'approvazione; e
Toutevérité est-elle bonne à dire ? Par Mikaël Journo Le 27/03/2016 à 14h00 Rubrique Judaïsme. Imprimer; Envoyer; Partagez sur Crédit DR Le commentaire de la semaine par le Rabbin Mikaël Toujours dire la vérité n’est-​ce bon que pour les autres ? “ J’AI horreur des mensonges et j’ai horreur qu’on me mente ! ” s’est exclamée une jeune fille de 16 ans. Tel est aussi notre sentiment, pour la plupart. Nous aimons à penser que les renseignements qu’on nous donne, tant en parole que par écrit, sont véridiques. Mais disons-​nous la vérité lorsque nous transmettons des informations aux autres ? Lors d’une étude réalisée en Allemagne, la grande majorité des personnes interrogées ont estimé que “ mentir sur des questions mineures dans le but de se protéger ou de protéger autrui est acceptable, et même nécessaire, pour préserver de bonnes relations ”. “ Toujours dire la vérité, rien que la vérité, constitue un noble idéal... mais c’est lassant ”, a écrit une journaliste. Se pourrait-​il que nous préférions entendre la vérité, tout en estimant avoir parfois de bonnes raisons de ne pas la dire nous-​mêmes ? Est-​il important de toujours dire la vérité ? Quelles sont les conséquences du mensonge ? Les préjudices causés par le mensonge Considérons quelques-uns de ces préjudices. Le mensonge engendre la méfiance entre conjoints et entre membres d’une même famille. Une rumeur non fondée peut nuire à la réputation de quelqu’un. La malhonnêteté des employés augmente les coûts d’exploitation et entraîne une hausse des prix. Les déclarations de revenus frauduleuses privent les gouvernements de fonds indispensables au fonctionnement des services publics. Les mensonges de chercheurs ruinent des carrières prometteuses et ternissent la renommée d’institutions respectées. Des affaires malhonnêtes permettant de faire fortune rapidement dépouillent des investisseurs crédules de leurs économies accumulées durant toute une vie, ou entraînent des conséquences pires encore. Rien d’étonnant donc que la Bible fasse figurer parmi les choses détestables aux yeux de Jéhovah Dieu “ une langue mensongère ” et “ un faux témoin qui exhale des mensonges ” ! — Proverbes 616-19. Le mensonge, aujourd’hui si répandu, peut faire du tort tant aux individus qu’à la société dans son ensemble. Rares sont ceux qui prétendront le contraire. Dans ce cas, pourquoi certains mentent-​ils délibérément ? Toute fausse affirmation constitue-​t-​elle un mensonge ? Nous répondrons à ces questions, ainsi qu’à d’autres, dans le prochain article. [Illustration, page 3] Le mensonge engendre la méfiance entre conjoints.
\n\n\n toute vérité n est pas bonne à dire bible
Commentalors en démêler ? "Est vrai ce que nous percevons clairement et distinctement" dit Descartes. Clairement est aisé à comprendre; distinctement signifie sans mélange d'autres notions. C'est donc l'interprétation qui est différente pour chaque individu, pas la perception. D'autre part, la vérité est ce qu'on doit quand elle est

Scénario 1Chérie, je dois te révéler que je ne t'ai jamais vraiment aimée. Ta mère est celle qui a insisté en vain et je n'ai pas pu lui résister. Je suis désolé mais aujourd'hui, ce mariage m' véritéScénario 2Maman, les résultats de tes tests médicaux sont sortis et j'étais avec le médecin ce matin. Il m'informe qu'il ne te reste plus que deux mois à vivre dans le meilleur des cas. Je suis désolée, véritéScénario 3Chérie, je l'ai longtemps gardé sur le coeur mais il est temps que je te dise la vérité depuis 7 ans, je vis une relation extra-conjugale mais je t'aime véritéScénario 4Chéri, depuis la chirurgie que tu as eue en 2016, tu es devenu infertile. C'est pour te protéger et te faire accroire que tout va bien que j'ai eu des enfants dehors. Les enfants sont au courant mais ils ne t'aiment pas vérité Précédent Suivant Voilà présentées, des phrases qui sont autant dures à prononcer qu’à entendre. Si nous vivions dans un monde idéal où tous les êtres humains étaient transparents, fidèles et peu soucieux, ces scénarios seraient monnaie courante. Toutefois, pour telle ou telle autre raison, il arrive que l’on manque de dire la vérité ou toute la vérité à nos proches. Certains le font pour ne pas blesser l’autre, d’autres, parce qu’ils n’ont pas les bons mots et d’autres encore, parce qu’ils ont peur de briser la confiance en eux placée. D’où l’intérêt de la question toute vérité est-elle bonne à dire? D’office, nous dirions que toute vérité n’est pas bonne à dire car le mensonge et la dissimulation ont aussi leurs vertus. Il n’est pas faux de dire également que certaines vérités nous attirent plus d’ennuis qu’autre chose. Lorsqu’on choisit de dire la vérité, pourquoi a-t-on peur? Pourquoi brisons-nous des relations? Pourquoi perdons-nous des êtres chers? Pourquoi les gens préfèrent-ils être avec des gens qui leur mentent? La réalité est que l’Homme a continuellement besoin d’assurance, de réconfort, de confort et de paix intérieure. Nos réactions et nos pensées ne peuvent pas toujours et sans équivoque être en adéquation avec nos valeurs et nos engagements. C’est dans cette logique qu’on en vient à faire des faux pas qui pourraient offenser notre prochain. Lorsque cela se produit, est-on tenus de faire de la peine à nos proches en le leur disant? Considérant le scénario 3, quelle est l’utilité d’informer son partenaire de cela à moins de vouloir rompre l’union ou causer du tort à l’autre? Quant au scénario 2, n’est-il pas plus sage de dissimuler la nouvelle car, en informer le mourant reviendrait à précipiter sa mort? Et si, face à une telle affirmation, la mère décidait d’écourter son séjour sur Terre de deux mois à deux jours? Tout le monde en souffrirait. Sans nul doute! Les raisons pour lesquelles toute vérité n’est pas bonne à dire sont nombreuses. Cependant, si vous optez pour la vérité partout et toujours, vous devez garder cinq critères en tête l’utilité, l’opportunité, la totalité, les mots et les retombées. La vérité que je voudrais révéler, est-elle utile à mon interlocuteur ou à mon public? Si l’information va les aider à avancer dans la vie, alors oui, cette vérité est bonne à dire. Dans le scénario 1, si cette franchise doit engendrer la rupture du mariage et donc libérer les deux partenaires, alors ce critère est rempli et la vérité est bénéfique. La vérité qui me pèse est-elle opportune? Autrement dit, arrive-t-elle au bon moment et dans les bonnes conditions? Il faudrait s’assurer que l’autre est dans les meilleures dispositions physiques et mentales pour accepter l’information que nous allons passer. Suis-je prêt à dire la vérité et toute la vérité? En effet, il ne sert à rien de révéler une vérité partielle laissant l’autre sur sa soif puis s’exposant, par la même occasion, à une prochaine foudre quand l’autre bout de vérité sera découvert. Se référant au scénario 3, imaginez si la conjointe devrait apprendre plus tard qu’en plus de cela, des enfants sont nés de cette union. La catastrophe! Est-ce que je dispose des bons mots pour exprimer de façon claire, sans ambiguïté et sans discourir, la vérité? Une vérité cachée, c’est une chose. Mais une vérité mal exprimée et donc, laissant place à l’interprétation et la confusion, c’est autre chose. Et, au demeurant, suis-je prêt à assumer les conséquences de la vérité que je vais révéler? C’est la partie du film qui dérange car, on a beau tout envisager, nous avons affaire à l’être humain dans toute sa complexité, sa particularité, son imprévisibilité et son inconstance. Dans le scénario 4, la dame s’est libérée mais le monsieur peut choisir de divorcer, d’accepter cette famille qui lui est étrangère, de se suicider ou même de tuer ces enfants, etc. Il pourrait piquer une crise cardiaque en apprenant cette nouvelle. Sa santé mentale en serait atteinte à jamais. Les conséquences sont plurielles. Dans tous les cas, la dame devra les assumer. Après coup, elle n’hésitera pas à se demander, comme nous, si toute vérité est bonne à dire. Pour finir, tenons-le pour dit rapprocher sa vie de la vérité rend l’expression de la vérité plus facile. L’objectif devrait être de tendre de plus en plus vers cet idéal en assumant, au passage, chaque conséquence de nos paroles. M. Z.

Encette période de fêtes de fin d'année, n'oublions pas que dans peu de temps, nous n'aurons même plus de pays. Et que si nous sommes le dernier peuple à re
Le Deal du moment Cartes Pokémon sortie d’un nouveau ... Voir le deal This is an old story 2 participantsAuteurMessageKeziah Taylor•ADMINISTRATOR The goddamn vampires ass kickerNombre de messages 504Date d'inscription 30/12/2008Heart & SoulLinks Job Chasseur de vampiresSelf Control 16/20Sujet Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Mer 31 Déc - 106 Ce soir, j'avais terriblement envie de sortir et de m'amuser. Faire la fête était quelque chose que je n'avais pas fait depuis des années. Lorsque je sortais avec Leila, lorsque celle-ci était encore vivante, nous passions nos soirées dehors. On aimait aller diner au restauant, aller boire un verre ou se faire un cinéma. C'était quelque chose de très fréquent pour nous. Puis, un jour, Leila m'a été retiré et je n'avais plus qu'une seule idée en tête, la venger. C'est pourquoi, depuis trois ans, je ne sors plus. Il faut dire que je n'ais pas le temps de sortir. En effet, je passe toutes mes nuits dans les cimetières ou dans la ville pour trouver des vampires que je pourrais torturer puis tuer. C'est incroyable le nombre de vampire que cette ville peut compter. J'en suis même à me demander s'il n'y a pas plus de vampire que d'humains sur cette planète à l'heure actuelle. Il est vrai, qu'au début, les vampires ne me gênaient pas plus que ça. J'étais même ami avec l'un d'entre eux. Cependant, depuis que j'ai sû qu'ils m'avaient arraché l'être qui comptait le plus pour moi, je me suis mis à les hair. Parfois, je me dis que j'aurais préféré que Leila soit transformé en vampire plutôt qu'elle soit tuée. Evidemment, ce n'est pas ce qui s'est passé. Oh non, ces horribles monstres ont préférés la vider complètement de son sang. Enfin bref, tout ça pour dire que depuis que je suis devenue un chasseur de vampire, je n'ais plus jamais le temps de sortir. Néanmoins, ce soir, je voulais m'accorder un jour de congé. Je pense que mon corps ainsi que mon ésprit avaient besoin de se détendre pendant un petit moment,au moins une soirée. Je n'avais pas dans l'idée de finir ma nuit avec une fille car ce n'est pas quelque chose que j'aime faire. D'ailleurs, depuis Leila, je n'ais pas touché à une femme. Je sais, cela fait trois ans maintenant mais que voulez vous, je ne me vois faire l'amour à personne d'autre. Leila est encore dans mon coeur et je l'aime toujours, même si elle n'est plus à mes côtés. Si je faisais l'amour à une autre femme, j'aurais l'impression de la tromper. Il devait être environ 23h quand je me suis décidé à prendre ma voiture pour me rendre dans un bar, le seul bar de la ville! J'avais pris le temps d'enfiler un jean, une chemise blanche et j'avais ammené un couteau avec moi. On ne sait jamais, après tout. Je pourrais très bien rencontrer des vampires dans ce bar ou pire encore, qu'on essaye de me mordre. De toute manière, je ne sortais jamais sans une arme sur moi. Cela faisait des années que j'habitais dans cette ville et j'allais souvent dans ce bar avant, cependant, cela faisait trois ans que je n'y avais pas mis les pieds. J'allais sûrement voir de nouvelles têtes. Je devais avouer apréhender. Après tout, je pourrais très bien rencontré des gens qui me rapelleraient Leila ou alors des vampires que je n'avais pas encore réussit à tuer et qui essayeraient de se venger. Quoi qu'il en soit, j'avais quand même besoin de sortir et je ne pouvais pas rester cacher chez moi idéfiniment. Au bout de quelques minutes, j'arrivais enfin au Black Unicorn. Je suis allé me garer puis je suis rentré dans le bar. Dés que j'eu ouvert la porte du bar, tous les regards se tournèrent vers moi. C'est souvent le problème dans les petites villes et surtout les petits bars, les gens regardent toujours tout le monde. Il n'y avait pas grand monde ce soir. Deux types étaient en train de jouer au billard, une cigarette à la bouche, un groupe de jeune était assit à une table, deux filles à une autre. Accoudé au bar, il y avait trois personnes. Un homme assez âgé qui me regardait comme s'il avait vu un fantôme. Ce mec me semblait louche et je me demandais si ce n'était pas un vampire. Après tout, il était tout blanc et plutôt beau. Bref, je ne préférais pas attardé mon attention sur ce mec. Je regardais donc les deux autres personnes. Il y avait une fille, plutôt jolie enfin il me semble puisque je le voyais de dos et un homme assez âgé qui la collait. Celui-ci semblait bourré. Je me suis donc approché du bar. En arrivant le barman me demanda ce que je voulais boire et je lui ais donc adressé un faible sourire."Une vodka stp..."Sans le vouloir, j'entendais la conversation de la jeune fille et du mec plutôt lourd qui était à côté de moi. "Aller dis moi au moins comment tu t'appelles.""Kaylen, tu es content? Lache moi maintenant.""Non...Viens on va aller faire un tour tous les deux" dit l'homme en attrappant la main de Kaylen. Je me suis donc doucement tourné vers eux et j'ai enfin pû voir le visage de la jeune femme. Elle était très belle et plutôt pâle elle aussi. Pendant quelques instants, j'ai même pensé qu'elle était une vampire mais je me suis dis que je devais déraillé. Après tout, j'avais tendance à voir des vampires partout ces derniers temps. De plus, elle avait un verre devant elle et aux dernières nouvelles les vampires ne buvaient pas. Quoi que? Enfin bref, je me suis donc rapproché de la jeune femme et j'ai regardé l'homme qui se tenait à ses côtés. "Je crois qu'elle ne veut pas te suivre. Si tu dégageais maintenant. Pourquoi tu n'irais pas te trouver des filles de ton âge?"L'homme redressa alors la tête vers moi et me regarda comme si je venais de faire la plus grosse erreur de ma vie. Il s'approcha de moi et s'appreta à me mettre un coup de poing que je réussis à esquiver sans aucune difficulté. Après tout quand on est habitué à se battre contre des vampires, ce n'est pas un mec bourré qui peut nous faire peur. L'homme est donc revenu à la charge et cette fois, j'ai attrapé son bras, je l'ais retourné et j'ai plaqué le visage de l'homme contre le comptoir. Ensuite, j'ai sortis mon couteau et je l'ais mis au coin de sa joue."Maintenant écoute moi bien. Tu vas présenter tes escuses à la jeune femme et sortir de ce bar. D'accord?"J'ai donc laché l'homme et celui-ci s'est redressé. Il s'est escusé auprès de la jeune femme et il est sortit du bar. Evidemment, tout le monde me regardait maintenant. Il faut dire que je venais de sortir un couteau. J'ai donc pris soin de le ranger discrètement et je me suis tourné vers l'assemblée. "Tout va bien...Reprenez!"Je me suis ensuite assis à ma place, j'ai bu une gorgée de ma vodka et je me suis tourné vers la jeune femme avec un faible sourire. Evidemment, je l'avais peut être effrayé avec ce couteau mais bon, tant pis. Dans le fond, il était évident que je n'aurais jamais tué cet homme. Je tuais les vampires mais il était hors de question que je touche à un homme."Ca fait du bien un peu de sport..." dis je à le jeune femme avec un faible sourire sur les lèvres. _________________ Ma vengeance est perdue s'il ignoreen mourant que c'est moi qui le tue. Kaelyn Helsingers•CRAZY'ADMIN Twitch for no reasons Nombre de messages 1350Age 29Mood GrinsMusic YOU - BREAKING BENJAMINPseudo DAWNYQuote cradaboubouilles *-*Date d'inscription 23/12/2008Heart & SoulLinks Job Self Control 15/20Sujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Mer 31 Déc - 246 Je souris amusée de voir ce jeune homme venir à mon aide - bien que je n'en eut besoins réellement - C'était rare de rencontrer des personnes comme cela de nos jours. Très rare, il me plaisait bien ce gars là. Je secouai la tête à sa remarque et décidai pour une fois de ne pas me faire trop "vampire". Bien que j'avais la peau assez pâle, j'étais habillée à peu près comme une humaine. Je portais un cuir et un débardeur blanc. Pas très féminin ? Mais si, je pourrais même mettre une veste de motard, je la rendrais féminin. Sâchez-le bien. Moi narcissique ? Pas du tout, juste réaliste. Soit, je lui souris légèrement, et bus une gorgée de ma téquila, j'apellai la barmaid et lui priai de demander au jeune homme ce qu'il désirait boire. C'était son jour de chance aujourd'hui j'étais de bonne humeur, et décidai même de lui payer un verre d'alcool. Ha, l'alcool, ça c'est vraiment bien, vous savez qu'il vraiment une très grande dose d'alcool pour que nous les vampires soyons bourrés ? C'est vachement pratique, vous savez. Oui, ça fait toujours du bien du sport... Et merci au fait. »Je me retournai plus vers lui, un très beau gosse. Je lui tendai la main, et tentai de sourire légèrement pour ne pas montrer ma canine affutée. Je n'avais pas vraiment envie que tout le bar devine qui j'étais vraiment. Parce que j'étais assez bien là, assise sur le bar, sirrotant de l'alcool et discutant avec un inconnu qui m'avait faussement sauvé. Oh, Kaelyn Helsingers ... et vous êtes ? ... »Un putain de beau mec ! Pardon...Mais c'est ce qui me vint à l'esprit, là tout de suite. Ca ne va pas en s'arrangeant moi, je vous l'accorde. Je revins sur mon beau-faux-sauveur. Bah oui, parce que je n'avais pas eut besoins de lui pour me sauver. Si n'avait pas été là, je serais sans doute simplement sortie et aurait assomé ce veillard pervers. Il était entrain de boire le verre que je lui avais payé. En me jettant quelques furtifs coups d'oeil. Ca vous arrive souvent de sauver les demoiselles en détrésses comme ça ? »J'avais repris mon sourire en coin. Peut-être qu'il était comme ça, il guettait tous les bars et au moindre type louche, il se mettait à l'observer pour ensuite pouvoir sauver la fille et la draguée ! Hé; il est pas con ce jeune homme! Bonne technique d'attaque en tous cas. C'était une des premières fois où je parlais vraiment à un humain inconnu. D'habitude je les lorgnais, soupirant en voyant. Je les enviais par moment, et les détestais à d'autres. Il faut dire que je suis assez lunatique. Même étant vivante, j'étais pareil. D'ailleurs, je ne sais par quelle raison, je suis toujours la même. Mon caractère est toujours le même, et j'ai toujours ce même humour dérangeant, et désespérant. Mais moi je l'aime mon humour, enfin soit. De jour au lendemain, mon avis sur quelque chose pouvait changé. J'étais comme ça. Mais en même temps, comme le dit si bien le dicton "Seuls les imbéciles ne changent pas d'avis" .Je repportai mon attention sur le jeune homme. Il avait beau être beau, il dégageait quelque chose de très mistèrieux. De triste aussi. Ca le sentais très bien, cette odeur de tristesse l'enveloppait tout entier. J'en étais peinée. Mais après tout ce n'était pas mes affaires. Et enfait, depuis quand je me soucis des autres ? Ce ne va vraiment pas mieux, à croire que le sang de biche est mauvais pour la santé, faudrait vraiment que j'essaie celui d'ours. _________________ ٩̾●̮̮̃̾•̃̾۶Promise me you'll try,to leave it all behind'Cause I've elected hell,lying to myselfWhy have I gone blind?Live another lifeYou Breaking Benjamin Keziah Taylor•ADMINISTRATOR The goddamn vampires ass kickerNombre de messages 504Date d'inscription 30/12/2008Heart & SoulLinks Job Chasseur de vampiresSelf Control 16/20Sujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Mer 31 Déc - 306 Soyons bien d'accord, si j'avais sauvé cette jeune femme, ce n'était en aucun cas pour la draguer ensuite. Il faut être honnête, je n'avais jamais été trés doué en ce qui concerne la drague. Enfin si, dans le temps j'étais plutôt bon, surtout lorsque j'étais au collège. Néanmoins, pour que Leila succombe à mon charme, j'avais dû revoir toutes mes techniques de drague. Quoi qu'il en soit, depuis Leila, je n'avais pas dragué une seule femme et j'avais un peu perdu la main comme on dit. D'ailleurs si j'étais sortis ce soir, ce n'était pas pour trouver une femme. Après tout, j'avais déjà trouvé l'amour de ma vie et même si je l'avais perdu aujourd'hui, je savais pertinemment que je n'en trouverais pas un autre. Du moins je le pensais. Quoi qu'il en soit, il est évident que de trouver une partenaire pour la nuit ne m'aurait vraiment pas fait de mal, au contraire. Quoi que de ce côté là, je risquais d'avoir perdu la main aussi. Enfin bref, à l'origine, si j'étais venu en aide à cette jeune femme, c'était parce qu'elle semblait vraiment énervée à cause de ce type et pour être honnête, je n'avais jamais aimé les pervers qui draguaient ou plutôt collaient les jeunes femmes qui étaient plus jeunes qu'eux. Apparemment, la jeune femme semblait plutôt contente que je lui sois venue en aide puisqu'elle m'offrit un verre que j'acceptais avec grand plaisir. Je lui fis d'ailleurs un signe de tête pour la remercier. C'est alors qu'elle me tendit la main et me dit son prénom. Je lui ais tendu la main à mon tour et lui ais fais un léger sourire."Enchanté. Keziah."Je n'aimais pas trop dire mon nom de famille. Non pas que je sois recherché pour meurtre ou quelque chose dans ce genre mais disons seulement que depuis trois ans j'essayais de me faire discret dans cette ville. Je n'avais pas du tout envie que des gens qui me connaissaient avant me retrouve et qu'ils essayent alors de savoir ce que j'étais devenue. Certes, Kaylen risquait de trouver étrange que je ne lui ais pas dis mon nom de famille mais peu importe. Si elle me posait la question je ne lui réponderais pas pour autant. Que voulez vous, quand j'ai quelque chose dans le crane, je ne l'ais pas ailleurs. Je regardais la jeune femme qui se trouvait devant moi. Elle était vraiment belle, il faut l'avouer. Elle portait pourtant un cuir mais tout cela n'enlevait rien à sa féminité. Elle ressemblait à une femme fatale. Rien de tel pour exiter mes envies surtout quand on sait que j'étais légèrement en manque. Enfin bref, je me ressaissis et cessais de la relooké de cette manière. Je me suis alors concentré sur mon verre et en ait bu une gorgée. C'est alors qu'elle me demanda si je sauvais souvent des jeunes femmes en détresses. Je fis un léger sourire amusé puis je me tournais vers elle pour lui répondre."Oui tous les jours pour être honnête..."Quelque part je disais la vérité car la plupart des vampires que je traquais étaient des vampires qui s'apprêtaient à mordre une femme. Oui en effet, je dois avouer que je m'attaquais plus aux vampires carnivores. Non pas que je ne veuille pas m'attaquer aux autres, mais disons juste qu'ils sont plus simples à repérés puisqu'ils sont souvent assoiffés de sang humain. Enfin bref, je ne parlais plus et m'étais reconcentré sur mon verre. Je sais que je n'étais pas trop bavard mais bon...Je n'avais jamais été du genre bavard, j'avais tendance à aimer le silence, surtout depuis trois ans. Il faut dire que les seuls conversations que j'avais depuis trois ans étaient avec des vampires juste avec les tuer. Et oui, j'étais devenu un hermite. Quoi qu'il en soit, je devais faire un effort et me montrer agréable et poli ce soir. C'est pourquoi, je me suis de nouveau retourné vers la jeune femme et lui ais fais un léger sourire. "Vous êtes souvent seule dans les bars à cette heure ci? Votre mère ne vous a jamais dit que c'était dangereux pour une fille de trainer toute seule."Bon ce n'était sûrement pas la meilleure phrase que j'avais trouvé pour faire la conversation mais disons que c'était un début. Je finis alors mon verre et j'en commendais un nouveau au barman pour Kaylen et moi. Chacun notre tour. Pourquoi serait elle la seule à payer? Et puis, j'avais toujours appris qu'il fallait se montrer galant avec les femmes. Je mettais donc à profit l'éducation que m'avais donné mon père. _________________ Ma vengeance est perdue s'il ignoreen mourant que c'est moi qui le tue. Kaelyn Helsingers•CRAZY'ADMIN Twitch for no reasons Nombre de messages 1350Age 29Mood GrinsMusic YOU - BREAKING BENJAMINPseudo DAWNYQuote cradaboubouilles *-*Date d'inscription 23/12/2008Heart & SoulLinks Job Self Control 15/20Sujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Ven 2 Jan - 046 Tous les jours ? Wow, vraiment un chique type. Presque inédit chez les humains. Mais c'était sympa d'en voir, ça changeait de tous ces chasseurs qui se croyaient plus fort que les autres à chasser tout ce qui avait des dents pointues... Je souris doucement à sa question, et sans faire exprè un truc pas très malin s'échappa de ma bouche. Ma mère est morte il y a très longtemps... Enfin quelques années quoi.. Mais non, elle ne m'a jamais dit ça. Mais je crois savoir me défendre assez-bien, rassurez-vous...»Quelle gourde, j'aurais pu crier que j'étais un vampire ça aurait été moins bête que de dire ce que je venais de dire "il y a très longtemps" tssss. Merci pour le verre ... »L'acool, rapellez-vous, nous ne sommes jamais saoules....C'est d'ailleurs pour ça que j'acceptai son verre sans broncher. Je l'obersai et remarquai de longues cicatrices sur son visage. Pas très voyantes tout de même, mes assez voyantes pour mes yeux de vampires. Curieuse, je m'apprêtai à lui demander d'où elles venaient. Peut-être indiscret, mais ce garçon m'intriguait, je me donnais alors le droit de savoir. Non mais ho... D'où vous viennent ces cicatrices ? »Je posai délicatement ma main sur sa joue pour lui montrer. Deuxième imbécilité de la soirée, mes mains étaient glacées. Je la retirai alors assez vite et reprit mon sourire pour faire mine de rien. Vous êtes un vrai guerrier. »Ou chasseur...J'en doutais, mais il n'en avait pas vraiment l'air, et je me forçai alors de me sortir cette idée de la tête. Il avait sans doutes du se battre ou quelque chose comme ça. Le mec avec qui il avait du se battre avait alors du lui donner un coup de poing qui aurait finit en coup de griffe, qui sait?.. ou j'étais entrain de racontre n'importe quoi, ce qui était vachement plus plausible. Mais ce garçon m'intriguait vraiment. j'avais beau être une vampire végétarienne rebelle, je ne me moquais pas de tout comme je voulais le laisser entendre à beaucoup de personnes. Non, je m'intéréssais souvent à beaucoup de chose, même à des gens par moments. Je n'étais pas totalement sans coeur dans le fond, il fallait juste savoir attiré ma sympatie. Ce qui n'est pas facile, je l'avoue. Mais après tout, je suis un vampire. Estimez-vous déjà contente que je ne sois pas entrain de boire votre sang, petits humains. Je secouai la tête, et reportai mon attention sur Keziah. Je me trompes peut-être mais cela ne fait pas longtemps que vous êtes ici »À vrai dire, je ne l'avais jamais vu, et son regard ne m'était même pas familié. Il devait peut-être d'arriver, ou alors je ne l'avais vraiment jamais vu. Pourtant, je passe mon temps à détailler le monde qui m'entoure, les gens qui l'occupent. Le paysage les animaux, je suis sans cesse entrain d'oberser. Il est facile de cerner quelques en un simple coup d'oeil à ses yeux. Tout se lit sur le visage, dans les traits, les yeux. Les émotions se lisent, se voient. Et puis il y a l'odeur aussi, elle permet de souvent savoir l'état d'esprit d'une personne. Mais ça, c'est propre à ma petite personne. Je le sais, je n'ai jamais connu personne d'autre avoir cette même particularité. Et j'en étais, en fait, bien contente. _________________ ٩̾●̮̮̃̾•̃̾۶Promise me you'll try,to leave it all behind'Cause I've elected hell,lying to myselfWhy have I gone blind?Live another lifeYou Breaking Benjamin Keziah Taylor•ADMINISTRATOR The goddamn vampires ass kickerNombre de messages 504Date d'inscription 30/12/2008Heart & SoulLinks Job Chasseur de vampiresSelf Control 16/20Sujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Ven 2 Jan - 108 En réalité, je n'avais pas du prêté attention au fait qu'elle ait dit que sa mère était morte depuis très longtemps. La seule chose qui m'avais vraiment attiré était le fait que sa mère soit morte. A cet instant précis, je passais pour un effet, je venais de lui parler de sa mère, sans avoir pensé qu'elle pourrait ne plus en avoir. Quel imbécile. Après tout, je lui avais sûrement fait de la peine. Je fis alors une légère grimaçe. Pour être franc, je ne savais pas trop quoi répondre. Que pouvais je dire? La phrase que tout le monde dit dans ces cas là, c'est à dire "je suis désolé". En même temps, j'avais toujours trouvé cette phrase idiote. En effet, depuis que Leila est morte, j'avais dû entendre cette phrase une centaine de fois. Tout les gens qui m'avaient croisé après son décés étaient désolés. Et pourquoi étaient ils désolé? C'est vrai, ce n'est pas eux qui l'avaient tué. Le pire, c'est que dans cette phrase, on sent une légère touche de pitié et s'il y a une chose que je déteste, c'est bien la pitié. C'est donc pour cette raison que je ne savais pas trop quoi répondre à la jeune femme. Je réflichisais donc à ce que j'aurais voulu qu'on me dise pour Leila mais je ne trouvais rien. Je finis donc par, trouver quelque chose à dire et bien que cela n'était pas très glorieux, j'optais pour cette solution. "Hum. Je sais à quel point predre quelqu'un est difficile, croyez moi..."Voilà je venais de parler de Leila, enfin pas explicitement certes, mais il n'empêche que j'avais très mal à cet instant précis. Cela faisait trois ans que je ne parlais pas d'elle. Enfin sauf avec les vampires que j'attaquais évidemment mais dans ces cas là, c'était différent. A cet instant précis, mon visage devait avoir perdu de son éclat puisque j'étais vraiment triste et j'essayais à tout prix de cacher cette tristesse. C'est pourquoi, j'ai préféré baisser la tête et me concentrer sur mon verre. C'est alors que Kaylen me fit sortir de mes pensées puisqu'elle venait de me demander d'où me venait mes cicatrices et tout en disant cela, elle mit sa main sur mon visage. Sa main était glacé et pendant quelques secondes, je lui ais jetté un regard noir. Il faut dire que pendant quelques instants, j'ai pensé qu'elle pouvait être un vampire. Après tout, j'avais déjà touché des vampires et il y a une chose dont je suis sûr, c'est qu'ils ont la peau aussi froide. Et voilà, elle avait réussit à me faire retrouver ma méfiance. Frnachement, j'espèrais vraiment pas qu'elle soit une vampire car je commençais à bien m'entendre avec qu'elle et ça me faisais vraiment du bien, depuis trois ans que je ne parlais plus à personne. Enfin quoi qu'il en soit, tant que je n'étais pas sûr de ce que je pensais, c'est à dire qu'elle soit un vampire, je restais le plus naturel possible. De toute manière, je n'étais pas très bavard depuis le début donc ça n'allait pas faire de gros changements. "Je dois avouer que je me bats assez souvent..."Et oui, c'est la vérité. J'ai toujours été quelqu'un de casse-cou et depuis que je suis goss, je me bats. Pour dire vrai, c'est un truc que j'ai toujours adoré faire. Franchement ça fait du bien et ça défoule parfois. Evidemment, lorsque je sortais avec Leila, j'avais cessé de le faire car Leila ne le supportait pas beaucoup, pas du tout même. Enfin bref, ces cicatrices m'avaient été faite par un vampire. Le premier avec lequel je m'étais battu. Il m'avait attaqué et j'avais dû m'enfuir pour ne pas qu'il me saute dessus par la suite. Je ne sais pas trop bien comment je m'en étais sortis mais quoi qu'il en soit, j'avais dû mettre un mois pour tuer ce vampire et j'avais risqué ma vie plusieurs fois. Maintenant j'étais plus doué et je me faisais moins souvent avoir. Kaylen me fit alors sortir de mes pensées quand elle me dit que j'étais nouveau dans le coin. Je fis un léger sourire amusé. Moi nouveau? Oh non, pas du tout. Je vivais ici depuis que j'avais 5 ans alors. Evidemment, si elle était une vampire, elle devait trouvé que ça faisait peu de temps. Bref, je sortis cette idée de ma tête puis je me tournais vers elle pour lui répondre. "Oh non, je ne suis pas du tout nouveau...Je vis dans cette ville depuis que j'ai 5 ans."Bon d'accord, ce n'était pas très malin d'avoir dit une chose pareille, maintenant la jeune femme allait surement se demander pourquoi elle ne m'avait pas vu avant. "Disons seulement que je ne sors pas beaucoup."Je me suis ensuite reconcentré sur mon verre, j'ai bu une gorgée puis me suis retourné vers la jeune femme. J'avais bien l'intention d'en savoir un peu plus sur elle, afin de savoir si elle était une vampire ou non. Evidemment, j'espèrais que ce n'était pas le cas. Surtout que, bien que la main sur mon visage était glacé, elle m'avait aussi fait beaucoup de bien. Depuis, longtemps, je n'avais pas sentis la douceur d'une femme sur ma peau. "Et vous? Depuis combien de temps être vous là?"_________________ Ma vengeance est perdue s'il ignoreen mourant que c'est moi qui le tue. Kaelyn Helsingers•CRAZY'ADMIN Twitch for no reasons Nombre de messages 1350Age 29Mood GrinsMusic YOU - BREAKING BENJAMINPseudo DAWNYQuote cradaboubouilles *-*Date d'inscription 23/12/2008Heart & SoulLinks Job Self Control 15/20Sujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Ven 2 Jan - 249 Je soupirai et lâchai sans vraiment le vouloir... Ouais, moi aussi je me bats de temps en temps. »Je n'avais pas relevé sur le fait qu'il ait perdu quelqu'un, ni que moi j'avais perdu ma mère. Ma mère était morte de veillesse alors que moi, j'avais l'éternité devant moi. Jamais je ne connaîtrai le même sort qu'elle. Je m'y étais faite, mais encore par moment, il m'arrivait de vouloir redevenir humaine. Et pourtant, Dieu sait que j'aime ma nature, être vampire. Oh, d'accord... »Il préférait donc rester chez lui plutôt que de rester dehors, dans des bars ou avec des amis. Il avait pourtant l'air jeune, c'était surprenant. Furtivement, je jettai un coup d'oeil à son anulaire pour voir si celui ci était recouvert d'une bague mais non. Il était donc seul, ou alors n'était pas encore fiancé. Mais, quelque chose dans son regard était si triste. J'en avais de la peine à sa place. Et je n'avais pas pour habitude de m'appitoyer sur le sort des humains. Heu...un petit moment déjà... »Juste quelques dizaines d'années, avant j'étais en Angleterre, puis je suis débarquée à Boston. Franchement, c'était tout autre chose, les gens, le paysage. Beaucoup plus modernisé déjà à l'époque. J'avais de suite bien aimé. Bien que les bonnes manières de Painswick me manquaient par moments, je dois l'avouer. Mais avec les années, je me suis totalement adaptée à Boston, c'était pas si mal. Mais soudain, je mon intêret se porta sur Keziah. Je voulais en savoir plus sur lui. Et sinon, vous faites quoi comme métier ? »Je bus une gorgée de mon verre. Si j'en prenais un seul en plus, la barmaid me prendrait directement pour une alcoolo des alcoliques anonymes ayant craquée. C'était mon dernier verre si je ne voulais pas me faire remarquer. C'était genre quoi, mon dixième verre ? Pas très crédible tout ça. Je bus alors, discrètement, la dernière goutte de mon verre. Un je portai un furtif regard à la barmaid qui me regardait d'un drôle d'oeil. Je me mis à sourire en coin et finis par secouer la tête. Je le voyais bien comme policier...ou alors peut-ête garde du corps. Je le voyais bien porter un costard et de belles chaussures noires cirées comme il le faut. Ouais, un vrai gentleman. Puis ça allait bien avec le côté "sauveur de demoiselle en détrésse". Un remake du film bodyguard avec whitney houston et l'autre là... Je ne sais plus son nom, le mec là, le grand avec des oreillettes aux oreilles. Enfin bref... Je m'égare. Je me plantais peut-être sur toute la ligne, il était peut-être cuisto, ou au chomage. Han, ou femme au foyer...enfin...Homme ! Homme au foyer. Ho bah ouais; j'le voyais bien avec un tablier attaché à son cou, tiens..._________________ ٩̾●̮̮̃̾•̃̾۶Promise me you'll try,to leave it all behind'Cause I've elected hell,lying to myselfWhy have I gone blind?Live another lifeYou Breaking Benjamin Keziah Taylor•ADMINISTRATOR The goddamn vampires ass kickerNombre de messages 504Date d'inscription 30/12/2008Heart & SoulLinks Job Chasseur de vampiresSelf Control 16/20Sujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Ven 2 Jan - 305 Je ne pu m'empêcher de sourire devant sa remarque. C'était un sourire franc et sincère. Cela devait faire une éternité que je n'avais pas souris de cette façon. Disons que le fait de savoir qu'elle se battait de temps en temps me faisais assez rire. Après tout, c'est une femme et j'avais du mal à m'imaginer une femme se battre. Non, n'allez pas croire que je sois matcho ou quelque chose dans ce genre là, disons juste que je voyais plus un homme se battre plutôt qu'une femme. De plus, elle devait forcément moins se battre que moi, puisqu'elle n'était sûrement pas chasseur de vampire. A moins qu'elle soit un vampire? Et oui, cette idée me trôtait toujours dans la tête pour être honnête. Evidemment, j'essayais de ne rien laisser parraitre. Enfin bref, je préférais donc me reconcentrer sur ce que me disais la jeune femme. Alors comme ça, elle était là depuis un petit bout de temps?! Ah oui? Ce n'est pas très précis tout ça. J'aurais bien aimé qu'elle me donne un peu plus de précisions afin de savoir si elle était ce que je pensais ou non. Quoi qu'il en soit, je ne pouvais pas lui demander des précisions ou je serais sûrement passé pour un curieux maladif et dans le fond, c'était loin d'être mon genre. C'est alors qu'arriva la question que je devais avouer redouter. Elle me demanda ce que je faisais comme métier. Que faire? Est ce que je pouvais lui dire que j'étais chasseur de vampire ou vallait il mieux que je m'abstienne? Je fis une légère grimace ne sachant pas trop quoi répondre à cette question qui était comme un piège pour moi. De plus, même si elle n'était pas un vampire, elle avait peut eêtre une tendance à les défendre comme le faisait Leila et je n'avais pas envie qu'elle s'en aille. J'étais en bonne compagnie à cet instant précis. "Hum...Disons que je suis un genre de chasseur. C'est un peu compliqué en fait."Okay, je sais bien que ma réponse n'était pas du tout convainquante et qu'elle allait faire réfléchir la demoiselle. Chasseur? Qu'est ce que ça veut dire ça? Il fallait absolument que je précise même si pour cela, je devais lui mentir. "Enfin, un genre de garde du corps!"Evidemment, ça sonnait un peu faux dit après. Je me demandais bien ce qui m'avais prit de lui dire que j'étais un chasseur. Je m'en voulais beaucoup à cet instant précis. C'est pourquoi, j'ai préféré plonger la tête dans mon verre et finir ma dernière gorgée. Il fallait que j'arrête l'alchool car je commençais à ne plus trop tenir. Heureusement, je n'avais pas remarqué que Kaylen était à son dixième verre, sinon je me serais sans doute posé encore plus de questions à son sujet. Enfin bref, je devais absolument faire en sorte que la conversation ne reste pas sur moi plus longtemps. Je m'étais déjà mis dans l'embarra avec ma réponse. C'est pourquoi, je préférais lui retourner la question."Et vous que faites vous dans la vie?"J'espèrais sincèrement qu'elle me dirait qu'elle faisait un métier qui me convainquerais et qui me ferais dire que finalement, elle n'était pas un vampire. Il fallait vraiment que je sache si elle faisait partit de ces individus que je hais tant. J'espèrais que non. D'ailleurs plus le temps passait, plus j'espèrais que mon idée était fausse. Il fallait absolument que je lui pose une autre question. Et oui, je ne voulais vraiment pas que la conversation revienne sur mon métier. "Et sinon, vous avez quelqu'un dans votre vie?"A cet instant précis, je m'en voulais d'avoir posé cette question. Qu'est ce que je peux être stupide parfois. Franchement qu'est ce qui m'avais pris de dire une chose pareille. Il était évident, qu'elle crorait que je la drague. Dans le fond est ce que ce n'est pas le cas? Non surement pas! Du moins, si c'était le cas, c'était insconscient. De plus, je savais pertinemment qu'elle me retournerait la question et je n'avais pas du tout envie de me mettre à parler de Leila. Et voilà, je m'étais donc mis dans une situation délicate tout seul! Intelligent Keziah! "Vous n'êtes pas obligé de répondre bien sûr!"Voilà, je préférais préciser ceci. D'ailleurs, j'espèrais qu'elle ne me répondrait pas comme ça je n'aurais pas à lui répondre moi. _________________ Ma vengeance est perdue s'il ignoreen mourant que c'est moi qui le tue. Kaelyn Helsingers•CRAZY'ADMIN Twitch for no reasons Nombre de messages 1350Age 29Mood GrinsMusic YOU - BREAKING BENJAMINPseudo DAWNYQuote cradaboubouilles *-*Date d'inscription 23/12/2008Heart & SoulLinks Job Self Control 15/20Sujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Ven 2 Jan - 2319 "Hum...Disons que je suis un genre de chasseur. C'est un peu compliqué en fait."Mon souffle se coupait. Je n'entendais plus rien d'autres que cette phrase répéter sans cesse dans ma tête. Mais il se rattrapa en disant qu'il était garde du corps. Je fronçai les sourcils. Qu'était-il vraiment ? Je ne le savais pas. Je n'en avais aucune idée, j'étais perdue, parce que j'espérais qu'il ne soit pas un vrai chasseur. Parce qu'après mûre reflèction, il en avait tout l'air. Je secouai la tête. Et mes pensées se clamèrent un peu quand il continua à parler. Après tout, si il avait été un chasseur de vampires, il aurait sans aucun doute su que j'en étais un. Mon métier ? Vampire végétarien à pleins temps, et tout ce que ça impliquait. Mais je n'avais pas de boulot. Pourtant, j'aurais facilement pu m'inventer informaticienne, ingénieure, scientifique, et encore bien d'autres. Après des années passées à faire des études, on devient forcèment beaucoup plus riches en cultures générales et en intelligence. Je ne travaille pas vraiment... je fais plus du...free-lance...»Ouais, on m'apellait, j'allais zigouiller la bête, et le tour était joué; je recevais mon butin. Je me calmai, et souris légèrement en coin à sa question. Non, je n'étais avec personnes, mes des gens, j'en avais rencontré bien plus que lui n'en aurait eut dans toute sa vie, j'en étais certaine. Je m'étais calmée un peu ces temps-ci. Mais je n'en restais pas moins quelqu'un d'instable sur ce plan. J'avais eu de vraies relations amoureuses, et Dieu sait que les vampires sont fidèles. Mais, après quelques années, cela s'était finit. Comme toutes les histoires je présume. Pas pour le moment, non... »Bizarrement, et sans savoir pourquoi, je comprit qu'il espérait au plus profond de lui même que je ne lui renvoie pas la question. Je ne le fis pas, au risque de passer pour une impolie par ailleurs, mais j'étais trop sûre de moi pour le faire. Je me contentais alors de garder mon sourire, je n'avais plus d'alcool, et j'étais toujours intriguée qu'il n'avait pas voulu du moins, c'est ce que j'en déduisis en voyant son regard qu'il ne voulait pas que je lui pose cette question. Il avait peut-être perdue sa bien aimée, qui sait ? Ce n'était pas vraiment facile à devenir, mais au plus je le regardais, au plus je le sentais. Cette tristesse lisible dans les yeux après avoir perdu quelqu'un. J'essayais de me calmer de nouveau. Pour cela, je repenssais à son métier. Je voulais bien lui laisser le bénéfice du doute; il était donc garde du corps comme il l'avait précisé. Après tout, c'était plausible, peut-être qu'il était chasseur de paparazzis, et qu'il protégeait les stars des paparazzis, d'où son nom de chasseur haha... Ou pas. Soit, le costard lui allait définitivement très bien je ne l'avais jamais vu avec un costard, mais je me l'imaginais... Et sinon, vous protégez quoi ? des stars, des hommes d'affaires ou importantes ? des politiciens ? Ca doit être excitant, non ? »En tout cas, j'aurais bien voulu payer pour pouvoir protéger un homme ou une femme super canon. C'était de naissance vampirique en plus d'avoir autant de force en moi. Si jamais ce que je ne faisais ne me plaisait plus, je pourrais toujours me reconvertir, ouais. Kaelyn, la garde du corps. Ok, j'avais pas vraiment la carrure pour le métier, mais il ne faut jamais sous-estimer la puissance d'une vampire, qui plus est s'apellant Kaelyn... Moi, hein_________________ ٩̾●̮̮̃̾•̃̾۶Promise me you'll try,to leave it all behind'Cause I've elected hell,lying to myselfWhy have I gone blind?Live another lifeYou Breaking Benjamin Keziah Taylor•ADMINISTRATOR The goddamn vampires ass kickerNombre de messages 504Date d'inscription 30/12/2008Heart & SoulLinks Job Chasseur de vampiresSelf Control 16/20Sujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Sam 3 Jan - 205 On peut dire que j'aurais préféré qu'elle réponde à ma question en me disant qu'elle travaillait comme prof ou comme médecin, enfin j'en sais rien peu importe, j'aurais juste voulu une réponse un peu plus précise que celle qu'elle venait de me donner. Ainsi, mon doute comme quoi elle serait une vampire aurait peut être disparue. Evidemment, vu la réponse qu'elle m'avait donné, ce n'était pas le cas. Enfin peu importe, tant que je n'avais pas la preuve qu'elle en était une, je ne voulais pas me prendre la tête avec ce genre de chose. Et puis franchement entre nous, elle n'avait rien d'une vampire. Elle était si aimable et si sociable. La seule chose qui aurait pu me faire dire qu'il s'agissait d'une vampire était sa peau très pâle et surtout très froide. En même temps, Leila avait toujours eu la peau froide. C'est vrai, elle avait souvent froid, c'était peut être la même chose pour cette jeune femme. Quoi qu'il en soit, je ne voulais pas qu'elle soit une vampire, car ça faisait très longtemps que je ne m'étais pas sentis aussi bien. C'est aussi peut être pour cette raison que je me voilais un peu la face. Je fis un léger sourire devant sa réponse à propos de son métier mais n'ajoutais rien. Arrivait ensuite la question stupide que je venais de lui poser. En effet, je lui avais demandé si elle avait quelqu'un dans sa vie. Et voilà, maintenant elle allait sûrement croire que j'étais en train de la draguer. Bon certes, dans le fond c'était peut être un peu le cas, il faut croire que j'en avais besoin après trois ans à rester seul enfermé ou en présence de vampires. J'étais heureux de voir qu'elle ne m'avais pas relancé la question. C'était comme si elle avait sentit que de toute manière, je ne lui aurais sûrement pas répondu, en tout cas je ne serais pas rentré dans les détails, c'est évident. D'ailleurs, je ne parlais jamais de Leila à part aux vampires bien entendue. C'est alors que la conversation retourna tout d'un coup autour de mon métier. Je fis un léger sourire amusé devant sa remarque mais en même temps j'étais très mal à l'aise. Je baissais donc légèrement la tête puis la redressa vers elle. Bon de toute manière, je ne pouvais vraiment pas lui dire que j'étais un chasseur de vampire donc il fallait que je lui mente ou alors...Que je ne réponde pas. Oui c'était une bonne idée de ne pas répondre mais comment esquiver la question? C'est alors qu'on entendit une musique résonner dans le bar. C'était une musique plutôt douce qui ressemblait à un Sarah McLachlan!"Tu veux danser?" dis je avec un faible sourire sur les lèvres en me tournant vers la jeune accepta ma proposition et je me suis donc levé et lui ais tendu la main. Elle a alors mit sa main dans la mienne. Il n'y avait pas de doute la dessus, cette fille avait vraiment la peau froide. En même temps, beaucoup de gens ont les mains froides, bon peut être pas aussi froide mais ça ne faisait par forcément d'elle une vampire, en tout cas j'essayais de m'en convaincre que ce n'était pas le cas. Une fois qu'on fût debout et qu'on s'était rapproché de la piste de danse, je la mis face à moi et mis mes mains autour dans son bas de dos et j'ai commencé à danser avec elle. Je la sentais un peu gêné mais c'était un peu la même chose pour moi de toute manière. Soudain, petit à petit, je commençais à oublier ma gêne et j'avais même oublié l'option qu'elle pouvait être une vampire!_________________ Ma vengeance est perdue s'il ignoreen mourant que c'est moi qui le tue. Kaelyn Helsingers•CRAZY'ADMIN Twitch for no reasons Nombre de messages 1350Age 29Mood GrinsMusic YOU - BREAKING BENJAMINPseudo DAWNYQuote cradaboubouilles *-*Date d'inscription 23/12/2008Heart & SoulLinks Job Self Control 15/20Sujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Dim 4 Jan - 2241 J'étais assez surprise par sa demande, je dois l'avouer. Ce n'est pas tous les jours que j'ai l'occasion de danser un garçon aussi charmant. Et qui plus est, aussi mystérieux. Il m'avait demandé ça dans un sourire tout gentillet, presque timidement; Je n'avais pu résister. Au diable, les gens bourrés qui auraient pu nous regarder bizarrement. Nous étions un peu gênée, du moins, je faisais semblant de l'être pour paraître un peu "humaine". Lui, l'était réellement, et c'était d'autant plus attendrissant. Il commença alors à mettre ses mains dans le bas de mon dos. D'un geste très délicat. À croire que finalement, tous les hommes ne sont pas des brutes alcooliques et non soignées. En plus, j'adorais cette chanson, réellement. J'adore cette chanson...»Au fil de la chanson, je le sentais se détendre, c'était rassurant. À la façon dont il me regardait par moment, je sentais qu'il me soupçonnait d'être une vampire. Je le sentais, et ne connaissais que trop bien ce regard. Mais plus pendant la danse, il avait l'air légèrement apaisé. En y réfléchissant bien, cela faisait longtemps que je n'avais plus dansé avec un homme. Dans le temps, cela se faisait pourtant plus couramment, dans des bals, il y a de bonnes paires d'années. Quand mes anglaises tombaient joliment de chaque côté de son visage, se balançant sur ses épaules, son dos. Ça remontait à très loin, en fait. L'ambiance était toujours agréable, du moins j'ai en souvenirs Une espèce de mélodie entonnée par un piano d’un noir resplendissant auquel venaient je joindre quelques saxophones et trompettes. Et ces mêmes notes, ces mêmes musiques m'énervaient pourtant à de nombreuses reprises, et je me serais damnée pour pouvoir lui faire manger sa trompette, cela dépendait de mon humeur. Tu danses plutôt bien pour quelqu'un qui ne sort jamais de chez lui... »Je lui souris légèrement, après tout, il devait avoir ce côté gentleman bien ancré un lui. Car il dansait vraiment bien, et avait une telle délicatesse qu'il aurait pu être un vampire. Mise à part que sa peau était chaude, pas comme la mienne... Sa peau me réchauffait à elle seule, et c'était toujours agréable de ressentir cette sensation de chaleur. Comme si tout d'un coup, je me retrouvais plus humaine, allez savoir pourquoi. Moi, en tant que vampire, ma peau est toujours froide, blanche, le teint blafard. Seul un petit dans mes yeux peut me démarquer du lots. On continuait à danser, calmement, souris légèrement, quand j'entendis un verre se briser. Mon corps se tendit alors, espérant que personne ne s'était blessé. Mais une seconde après, l'odeur du sang venait déjà titiller mes narines. Je pris alors l'air le plus décontracté que je peux bien que j'avais la folle envie de sauter sur l'homme. Je me reculai légèrement, et souris à Keziah. Je passai une nouvelle fois ma main sur sa joue, et comme si je n'avais plus le voire, déposai un léger baiser surs ses lèvres. Je dois y aller... »Je plantai une dernière fois mon regard dans celui du jeune homme et me sauvai telle une voleuse qui aurait voulu faire le casse du siècle. D'un pas léger mais rapide, je parvins à me glisser dans une petite ruelle. Je m'appuyai alors contre le mur humide et froid. Je me mis à souffler. Cet homme, celui qui s'était coupé la main, avait échappé de peu à se faire boire tout son sang. Le problème étant que je n'avais plus chassé depuis un moment, le sang me manquait alors terriblement et à peine j'avais sentis son sang, mes instincts étaient revenus. Après tout, nos ancêtres avaient raison, nos sommes et resterons les bêtes les plus dangereuses au monde. Et je me damnerai juste pour connaître un seul vampire n'étant pas incommodé par le sang humain.._________________ ٩̾●̮̮̃̾•̃̾۶Promise me you'll try,to leave it all behind'Cause I've elected hell,lying to myselfWhy have I gone blind?Live another lifeYou Breaking Benjamin Keziah Taylor•ADMINISTRATOR The goddamn vampires ass kickerNombre de messages 504Date d'inscription 30/12/2008Heart & SoulLinks Job Chasseur de vampiresSelf Control 16/20Sujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Lun 5 Jan - 111 Et voilà, j'étais maintenant sur la piste de danse en train de danser avec une fille dont je ne savais absolument rien. Je ne sais vraiment pas ce qui m'avais pris d'inviter cette fille à danser. DIsons que ça avait été le seul moyen que j'avais trouvé pour esquiver la question en rapport avec mon métier. Enfin non, il n'y avait pas que ça. C'est vrai, que j'avais aussi très envie de danser avec cette jeune femme qui me plaisait beaucoup et qui me permettait de penser à autre chose qu'aux vampires et qu'à Leila. C'est étrange mais dés que je fûs sur la piste avec Kaelyn, j'ai tout de suite oublié mes idées comme quoi elle pourrait être un vampire. Pourtant, je suis sûr qu'au fond de moi, je sentais qu'elle en était un. Enfin bref, j'étais très bien avec elle. Je fis un léger sourire lorsqu'elle me dit qu'elle aimait cette chanson. J'aimais aussi beaucoup cette chanson. La première fois que je l'avais entendu, j'étais avec Leila. C'est d'ailleurs pourquoi, elle aurait dû me faire penser à elle mais non...A cet instant précis, je ne pensais à rien d'autre qu'à Kaelyn. Je souris de plus belle quand elle me dit que je dansais bien pour quelqu'un qui sortait jamais. C'est vrai, cela faisait des années que je n'avais pas danser. Quoi qu'il en soit, je sais que j'avais toujours été plutot bon dans ce domaine. Leila me le disait souvent. Comme quoi, j'avais pas perdu la main. La danse ça doit être comme le vélo, ça ne se perd pas!J'étais donc très bien dans les bras de cette jeune femme et j'aurais d'ailleurs voulu que ce moment ne s'arrête pas tout de suite. Pourtant...Tout d'un coup, on entendit un verre se brisé, un bruit auquel je ne prétais aucune intention. Je ne me suis même pas retourné vers l'homme qui avait fait tombé ce verre, il était sûrement bourré après tout. Pourtant, c'est à cet instant précis que Kaelyn me dit qu'elle devait partir. Pourquoi devait elle partir tout de suite? J'étais abasourdis. J'allais d'ailleurs dire quelque chose mais elle mit sa main sur ma joue. Une nouvelle fois, sa peau glaçé sur la mienne me fit un drôle d'effet et l'idée qu'elle puisse être une vampire, me vint de nouveau à l'esprit. Cependant, elle restait trop gentille pour être une vampire. Jusqu'à maintenant, je n'avais rencontré que des vampires horribles, ou presques...Bref, j'allais donc dire quelque chose mais elle me laissa pas le temps. Elle me fit un léger baiser sur les lèvres et sortit du bar. Et voilà, je restais maintenant comme un idiot en plein milieu de la piste. Je me suis donc dirigé en courant vers le barman, j'ai payé les verres et je suis sortis à mon tour. Une fois dehors, j'avais vraiment l'air bête. Je ne savais pas où elle avait pû aller. Pourtant, je décidais de me diriger dans la ruelle à côté du bar et c'est alors que je la vis. Elle était appuyée contre le mur et elle ne semblait pas aller très bien. Je me suis donc approché d'elle, et une fois, proche d'elle, je l'ais regardé dans les yeux."Tout va bien? Pourquoi es tu partis si vite?"C'était plutôt des questions réthoriques. En fait, je n'attendais pas vraiment de réponses. Je fis donc un léger sourire comme pour lui remonter le moral. Je ne savais pas ce qui avait bien pu se passer mais bon, elle méritait que je la réconforte. Il faisait très sombre dans cette ruelle et je voyais à peine ses yeux. Heureusement dans un sens. C'est vrai, sinon, j'aurais peut être vu qu'elle était en manque de sang. Bref, je me suis alors approché encore un peu plus d'elle et...Je l'ais embrassé. Ne me demandez pas ce qui m'a pris hein. En fait je n'en sais rien du tout. Disons que j'en avais juste envie, besoin je pense! Elle ne me repoussa pas, du moins pas au départ. Je devais avouer que ce baiser était délicieux même si encore une fois, je pouvais sentir sa peau qui était plus que froide. EN même temps, on était dehors et il faisait au moins moins 50. C'est ça, essaye de te convaincre Keziah! Quoi qu'il en soit, j'avais vraiment envie de rester avec cette jeune femme cette nuit. D'ailleurs, je savais très bien qu'il n'y aurait jamasi quoi que ce soit entre nous car je n'étais pas prêt à avoir une nouvelle relation mais j'avais bien besoin d'une amie. En tout cas, ce soir, j'avais surtout besoin de me faire du bien et de prendre un peu de plaisir. Cela faisait tellement longtemps. _________________ Ma vengeance est perdue s'il ignoreen mourant que c'est moi qui le tue. Kaelyn Helsingers•CRAZY'ADMIN Twitch for no reasons Nombre de messages 1350Age 29Mood GrinsMusic YOU - BREAKING BENJAMINPseudo DAWNYQuote cradaboubouilles *-*Date d'inscription 23/12/2008Heart & SoulLinks Job Self Control 15/20Sujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Mar 6 Jan - 1706 J'étais toujours adossée contre le mur. Quelle connerie. Je m'en voulais de ne pas avoir chassé d'animaux depuis un moment. Cela ne serait jamais arriver. C'était de ma faute. Tout s'était passé si vite, l'homme, le verre brisé...le sang... Keziah.. . Je pris une grande bouffée d'air. Mais quelques secondes après, je vis Keziah arrivé, confu. Je tentai alors de détourner mon regard. Je savais qu'à cet instant précis, mes pupilles avaient une légère teinte cuivrée. Et là, sans comprendre il s'approcha de moi et m'embrassa de ces lèvres chaudes. Encore maintenant, je ne sais pas si je ne me suis pas tout à fait reculée parce que je sentais son sang ou si je voulais tout simplement polonger le baiser. Mais, l'odeur du sang devenant trop forte, je le repoussa. Prise de panique, je m'asseyai sur le sol froid, dos contre le mur et les genoux recroquevillés contre ma tête. Je tenais ma tête entre mes mains. Pars... Pars Keziah... »Ma voix était plus calme que mon état d'esprit, plus posée, mais était tout de même cassée et sortit de ma bouche comme un pleur. Je secouai légèrement ma tête entre mes mains. Le sang, je ne sentais, voyais que ça. Son odeur m'obnubilait. Mais en même temps, il était toujours devant moi, pensant comprendre peu à peu. Je sentais aussi en lui la culpabilité de m'avoir embrassé. Alors que là n'était pas du tout le problème. Je n'étais même pas vraiment à même de me rendre compte de son geste. Seulement, une légère brise de vent arriva envoyant son odeur vers moi. J'étais habituée à ce que me faisait ressentir cette odeur, ma gorgesèche, le creux languissant dans mon estomac, mes muscles se tendantautomatiquement, le flot excessive de salive dans ma bouche. Tout ça était quasiment normal, habituellement facile à ignorer. Mais pas en ce moment alors qu'il y avait bien trop longtemps que j'avais chassé. C'était l'odeur le problème, l'abominable, l'attirante odeur de sonsang. S'il y avait un autre moyen de résister... si seulement un autrecourant d'air frais pouvait aérer mon esprit. Keziah, désarçoné passant la main dans ses cheveux. C'en était de trop; je me mis à grogner et relevai mes deux mains vers lui comme si je voulais le stopper. Ne bouge surtout PLUS »Sous peine d'être mordu dans le seconde qui suis. Je me relevai alors un peu hésitante, tout en gardant mes mains levées. J'essayai de le contourner et me reculai à quelques mêtres de lui. Une assez bonne distance pour que je sois tentée. Très bonne distance, je peux enfin humer l'air. Bien que son odeur vint parasiter l'air frais, je peux sentir autre chose que son horrible sang. Voilà, tu restes là comme un grand garçon... »_________________ ٩̾●̮̮̃̾•̃̾۶Promise me you'll try,to leave it all behind'Cause I've elected hell,lying to myselfWhy have I gone blind?Live another lifeYou Breaking Benjamin Keziah Taylor•ADMINISTRATOR The goddamn vampires ass kickerNombre de messages 504Date d'inscription 30/12/2008Heart & SoulLinks Job Chasseur de vampiresSelf Control 16/20Sujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Jeu 8 Jan - 2048 Je ne voulais vraiment pas que Kaelyn sorte de ce bar. Je ne voulais pas qu'elle rentre chez elle ou qu'elle aille autre part que dans ce bar. Enfin je voulais surtout qu'elle reste avec moi, juste parce que j'en avais besoin et juste parce qu'elle me faisait du bien. De plus, être avec elle, me permettais de me rendre compte que je n'étais pas tout à fait devenue une sorte de zombie et que je pouvais encore communiquer avec des humains. C'était ça le plus important, me rendre compte que j'étais encore moi même dans le fond. Il y avait autre chose au fait que je veuille rester avec Kaelyn. Cela venait de la façon dont elle m'avait regardé. En effet, elle m'avait regardé comme personne ne m'avait regardé depuis lontemps. Il faut dire que je ne voyais plus que des vampires ces derniers temps alors forcément lorsqu'ils me regardaient, c'était avec dégout, comme si j'étais un monstre. D'ailleurs il était tout à fait logique que pour eux je sois un monstre. C'est pourquoi, ça m'avais vraiment fais plaisir que Kaelyn me regarde comme si j'étais un héros. Enfin, non c'est un grand mot, mais disons qu'elle m'avait tout simplement regardé comme si j'étais réellement quelqu'un de bien. Pourtant, on ne pouvait pas dire du tout que c'est ce que j'étais. Bon, sortir du bar pour retrouver Kaelyn était donc une obligation pour moi. Je suis donc sortis et je n'ais pas mis beaucoup de temps à la trouver. UNe fois prêt d'elle, je l'ais embrassé. Allez savoir pourquoi. Surement pour toutes les raisons que j'ai cité précédemment. Le contact de ses lèvres glacés sur les miennes me faisaient du bien, vraiment du bien. J'aurais voulu que ce moment dure encore et encore mais...Malheureusement, Kaelyn se recula. Presque brusquement d'ailleurs. Est ce que je l'avais offencé? C'est alors qu'elle s'écroula sur le sol et me demanda de partir sans même levé son regard vers moi. Qu'avais je fais? Si elle ne voulait pas que je l'embrasse, pas de problème, il suffisait juste qu'elle me le dise. Pour l'instant, la seule chose à laquelle je pensais, c'est que je l'avais surement offensé en l'embrassant. Et oui, j'étais encore loin de penser que c'était l'odeur mon sang qui la mettait dans cet état. Surement un peu naif de ma part mais bon. Je la regardais donc sans trouver quelque chose à dire. Je mis alors ma main dans mes cheveux comme lorsque j'étais gêné et commençais à m'approcher d'elle. C'est alors, qu'elle poussa une sorte de grognement et mit ses mains en avant. Elle me demanda alors de ne pas bouger. Son attitude était de plus en plus étrange et je fronçais les sourcils. A cet instant précis, j'essayais surtout de penser à l'éventualité qu'elle était peut être une vampire. Après tout, le grognement qu'elle avait poussé était bien celui d'un vampire. KAelyn finit par se remettre debout, elle me contourna comme si j'étais un monstre et une fois assez loin de moi, elle me demanda de rester là. Elle semblait aller un peu mieux même si ce n'était pas tout ça. Je finis donc par la regarder dans les yeux, toujours aussi hésitant, puis finis par dire quelque chose. Cette fois, j'étais prudent. En effet, j'avais la main dans ma poche, prêt à sortir un couteau au cas où ce que je pensais maintenant fortement était vrai. "Soit tu as un petit ami ou alors tu n'as pas du tout aimé que je t'embrasse, soit...Soit tu es un vampire! Je t'en pris, éclaire moi."J'espèrais vraiment qu'elle n'était pas un vampire. Oh non, j'aurais vraiment pu mourir de savoir que j'avais embrassé une vampire. C'est vrai, je les détestais tellement. _________________ Ma vengeance est perdue s'il ignoreen mourant que c'est moi qui le tue. Kaelyn Helsingers•CRAZY'ADMIN Twitch for no reasons Nombre de messages 1350Age 29Mood GrinsMusic YOU - BREAKING BENJAMINPseudo DAWNYQuote cradaboubouilles *-*Date d'inscription 23/12/2008Heart & SoulLinks Job Self Control 15/20Sujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Ven 9 Jan - 2316 Je me mis à rire nerveusement sous sa phrase. Tout ça aurait été trop beau si il n'avait pas su que j'étais un vampire. J'avais l'air calme, amusé. De l'esbrouffe, en fait. Un bruit de personne saoule, un verre éclatant et des cris se faisant entendre fit détourner l'attention de Keziah. Parfait. Ça me laisserait le temps de faire deux ou trois pas, quand je tournerais les talons pour filer. Si je filais. Je ne m'étais pas encore décidée. Je passai mes mains dans mes fins cheveux noirs. Ce geste si simple pouvait souvent révéler mon état de nervosité. Et pourtant, après des centaines des années nous sommes sensés être des créatures posées, calmes et réfléchies. Ce n'était pas le cas pour tout le monde, mais surtout tout le temps. Les choses faisaient que les vampires pouvaient à n'importe quel moment. Comme toutes les personnes, quelles qu'elles soient, dotées d'une conscience. Je pouvais encore mentir à Keziah. Cela n'aurait pas été un problème pour moi; j'en avais l'habitude. J'aurais pu tout simplement lui dire que j'avais un petit ami que j'aimais, que mes mains étaient simplement froides car la température avoisinait le 0° et que j'étais très pâles car à l'instar des humaines je n'aimais pas vraiment les banc solaires. Mais à quoi cela aurait-il rimé ? Tôt ou tard, il l'aurait su. Il aurait alors été prit de remord encore plus profond que si j'avouais tout maintenant. De plus, je commençai, peu à peu, à me rendre compte qu'il m'avait embrassé. Que nous nous étions embrassés à deux reprises. Mon baiser avait moins d'importance à mes yeux qu'il ne l'avait eut aux siens. Je soupirai donc, lassée, blasée...Agacée. Vampire... Je suis une vampire, Keziah... »Je fis un geste de la main et haussai les épaules. Mais peu à peu, alors que je voyais sa main se resserrer sur une forme dans sa poche qui devait être un fusil, je plissai les yeux. Et commençai à le pointer du doigt. Soudain, le fait qu'il soit chasseur devint moins absurde. C'était même tout à fait plausible vu la tête qu'elle fit lorsqu'il prononça ce mot. Cela lui avait décroché une grimace lourde de signification. Ses cicatrices, son air ténébreux, froid aux premiers abords. Il était donc un chasseur. Je m'étonnais de ne pas avoir sentis l'odeur du sangs de mes camarades sur sa chaire. C'était étrange, Keziah était étrange. Ses mains se resserraient de plus en plus et sa mâchoire se tendait au plus j'approchais. C'est bon je vais pas te bouffer...J'ai su ne pas te mordre alors que ta chaire...ta peau... était à ma portée.. Si je ne l'ai pas fais avant, je ne le ferai pas maintenant... Relax... »ce n'était certainement pas maintenant que je l'aurais mordu si j'avais été carnivore. Cela était une chose sûre. Puis, là, je suis végétarienne. Le nouveau mot à la mode.. "je suis végétarienne" depuis quelques années, les humains nous imitaient. Les traîtres. On aurait dû mettre un copyright sur le mot végétarien, tiens. On aurait pas eut tous ces gens squelettiques parce que en manque de viande. Franchement, quelle foutaise, eux qui ont la chance de manger de la viande comme ils le veulent, ils ne le font pas. Et ne parlons même pas des végétaliens. Ce mot avait été inventé par nos ancêtres, le végétarisme. Je vous jure, ces humains sont vraiment des incultes. après cette petite parenthèse sur l'origine de ce mot, qui soit dit en passant était vraiment inutile, mon esprit se braqua de nouveau sur l'homme chasseur qui se trouvait devant moi. Toi...T'es un chasseur de toutes façons... Quand les grands esprits se rencontrent... »_________________ ٩̾●̮̮̃̾•̃̾۶Promise me you'll try,to leave it all behind'Cause I've elected hell,lying to myselfWhy have I gone blind?Live another lifeYou Breaking Benjamin Keziah Taylor•ADMINISTRATOR The goddamn vampires ass kickerNombre de messages 504Date d'inscription 30/12/2008Heart & SoulLinks Job Chasseur de vampiresSelf Control 16/20Sujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Ven 9 Jan - 2351 Je ne voyais pas vraiment en quoi ma phrase était drôle mais apparemment elle faisait rien la jeune femme, bien que je sentais un rire ironique dans le fond. Bref, au moment même où j'avais posé la question à Kaelyn afin de savoir si elle était une vampire, je savais déjà la réponse. D'ailleurs, si elle m'avait répondu qu'elle n'en était pas une, j'aurais sans doute voulu la croire même si au fond de moi, j'aurais continuer de la croire vampire. Bah oui, je n'étais pas si débile et j'avais bien compris dans le fond. On peut même dire que je l'avais compris avant de l'embrasser mais j'avais voulu me voiler la face. Oh je m'en voulais, oh oui je m'en voulais beaucoup. Enfin pour le moment, j'espèrais encore de l'entendre me dire que ce n'était pas le cas. Soudain, j'entendis un bruit qui provenait du bar. Il y avait des hurlements. Peut être un vampire carnivores dans le bar?! J'aurais peut être mieux fait d'y aller. Cependant, je préférais attendre la réponse de Kaelyn. Cette réponse ne tarda pas à venir. En effet, Kaelyn me dit qu'elle était belle et bien une vampire. Je fermais donc les yeux quelques instants et tous mes muscles se contractaires. Je me mis alors à cracher par terre. Comment avais je pu embrasser une vampire? C'était une infamie. Je m'en voulais, pire, je me dégoutais. J'ai donc glissé la main dans ma poche pour être prêt à employé le couteau que j'avais dans celle-ci. J''étais vraiment horifié de voir que j'avais embrassé une vampire. Enfin, je crois surtout que ce qui me dégoutait le plus c'est qu'elle soit une vampire. Elle me plaisait cette fille. Certes, elle ne saurait sûrement aps devenue la femme de ma vie mais j'aurais aimé passé la nuit avec elle. C'est vrai, ça m'aurait fait le plus grand bien. Maintenant, une chose est sûre c'est qu'il était hors de question que je la touche, à part pour la tuer peut être. C'est alors qu'elle s'approcha de moi, me précisant qu'elle ne me turais pas, que si elle avait voulu le faire, elle aurait pu le faire depuis longtemps. Certes, elle n'a pas tord. Elle était donc une vampire végétarienne. Voilà, qui était toujours mieux mais ça n'enlevait rien au fait que j'avais envie de vomir tout d'un coup. Quoi qu'il en soit, si elle croyait qu'elle allait s'en sortir comme ça, elle rêvait. J'allais la tuer. Oh oui, j'allais la tuer comme je tuais tous ces vampires depuis des années maintenant. Evidemment, le fait de savoir que je l'avais embrassé allait peut être compliqué un tout petit peu les choses. C'est alors qu'elle me fit sortir de mes pensées pour me dire que j'étais un chasseur. "En effet...Et tu es peux être sûr que je vais te tuer...Tu ne partiras pas d'ici en vie."J'ai donc sortis le couteau qui se trouvait dans ma poche et je me suis approché de Kaelyn. Seulement, je n'eu pas le temps de faire grand chose que je vis une jeune femme appeuré sortir en hurlant du bar. Elle s'approcha alors de nous, nous suppliant de l'aider. Okay, moi je pouvais surement l'aider mais pas Kaelyn, elle l'aurait sans doute bouffer. La jeune femme était poursuivit par un vampire. Celui-ci c'était un carnivore, vous pouvez en être sûr. Une fois à notre hauteur, il se mit à rire."Comme c'est original. Une de mes soeurs avec un chasseur."Evidemment, quand il disait ma soeur, il parlait non pas de l'humaine mais de Kaelyn. J'ai tout de suite poussé un soupire et je me suis approché du vampire. J'avais le couteau dans les mains et avant même qu'il s'en rende compte, trop occupé à parler sans doute, je l'ais coupé au cou. J'avais prévu ensuite de mélanger du sang humain au sien mais il ne me laissa pas le temps de le faire. Il semblait furieux par la blessure que je venais de lui faire. D'habitude, j'avais toujours eu lampe torche sur moi pour les éviter d'approcher mais ce soir je n'avais rien à part ce couteau. Et oui, il faut dire que j'étais plus ou moins venue draguer mais pas vraiment chasser des vampires. Pourtant, je me retrouvais entouré de deux vampires. Pas de doute, j'allais finir par y passer et c'était peut être mon heure d'ailleurs. En effet, le vampire s'approcha de moi et me plaqua violement contre le mur. J'étais finis. Je me suis alors tourné vers la jeune femme qui se trouvait à côté de moi, elle semblait complètement apeurée."Vas t'en! Cours!"_________________ Ma vengeance est perdue s'il ignoreen mourant que c'est moi qui le tue. Kaelyn Helsingers•CRAZY'ADMIN Twitch for no reasons Nombre de messages 1350Age 29Mood GrinsMusic YOU - BREAKING BENJAMINPseudo DAWNYQuote cradaboubouilles *-*Date d'inscription 23/12/2008Heart & SoulLinks Job Self Control 15/20Sujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Lun 12 Jan - 1736 Blablabla je suis un chasseur, je vais te tuer...blablabla... Cesse ton discours, tu n'arriveras pas à me tuer... »Je penchai la tête et soupirai. Après avoir eut Alexander sur mon dos pendant une année entière j'allais maintenant devoir supporter ce petit chassuer de Keziah. Je n'avais vraiment pas besoins de moi. Qui plus est, il m'avait embrassé, non pas parce qu'il était bourré ou quoi que ce soit. Non, juste parce qu'il en avait eut envie. Et deux fois, et maintenant qu'il connaissait ma nature, il voulait ma mort ? Lors de notre discution dans le bar j'avais été moi même. Je ne jouais pas un rôle. Mais, ça, les humains comme lui ne pouvaient pas l'assimiler. Le fait que nous puissions être comme des humains normaux. Enfin presque. Mais alors que Keziah s'apprêtait à me répondre vivement, on vit une fille entrain de courir comme elle le pouvait, suivit d'un chassuer. Sans attendre, le chasseur se dirigea dessus et lui décapita la tête le faisant voler en poussière. Seulement, d'autres vampires se trouvaient là. Keziah se fit vite prendre en "sandwich" par les deux vampires. L'humaine, elle, était adossée contre un mur, terrifiée, de légères plaies laissant apparaître du sang... Machinalement, Je stoppai le flot d'air arrivant dans mes poumons; le soulagement était instantané, mais incomplet. J'avais toujours le souvenir de l'odeur dans ma tête, son goût sur ma langue. Je ne serai pas capable de résister même comme ça pendant longtemps. Mais peut-être pourrais-je résister pendant un moment. Un petit moment. Juste assez pour me sortir de ce merdier, et de pouvoir sauver Keziah et l' une sensation inconfortable, ne pas respirer. Mon corps n'avait pas besoin d'oxygène, mais ça allait contre mes instincts. Je me reposai sur l'odorat plus que sur mes autres sens en temps de stress. Ça menait le chemin pendant la chasse, c'était le premier avertissement en cas de danger. Je ne rencontrais pas souvent quelque chose de plus dangereux que je ne l'étais, mais l'instinct de survie était juste aussi fort chez les miens que ça l'était chez l'humain mais faisable. Plus supportable que de respirer son odeur et ne pas planter mes dents dans cette peau, fine, diaphane, vers le sang chaud, battant, de cette humaine prise au piège. Je fis alors tout pour ne plus réspirer et je pus alors m'avancer vers l'humaine qui, malgré l'ordre de Keziah, était restée là, pétrifiée. Et sans doute à bout de force. Je l'aidai à se lever et l'emmenai un peu plus loin. Je lui promis de revenir une fois tout ça terminé et repartis vers le chasseur qui était tenu par terre par deux vampires près à lui sauter dessus et se faire une chère. Les vampires, ces deux-là, étaient pathétiques. Il leur coulait presque de la bave sur le menton tant ils ne révaient que de le croquer. Ils se faisaient un malin plaisir à le regarder par terre, jouant avec leur force pour le laisser plaquer contre le sol froid et humide. Je secouai la tête et attrapai agilement une espèce d'épée qui se trouvait dans ma veste. Avec un sourire en coin, tout en regardant Keziah, par terre, fixement dans les yeux. Je mis mon épée à la lumière pour la faire briller. Après ce petit coup de provocation, je m'avancai vers les deux vampires, dans leurs dos et d'un seul coup, leur décapitai les têtes. C'était tellement facile. Par principte, je n'aidai pas Keziah à se relever et repartis vers l'humaine, retenu toujours ma respiration à cause de tout le sang qui coulait, séchait sur Keziah et la femme. Je l'aidai à se relever, elle me gratifia d'un signe de tête mais était toujours aussi éffrayée. Vous n'avez plus rien à craindre...Du moins, pour ce soir... Dorénavant, ne vous promenez plus la nuit. Surtout dans des coins isolés comme ceux-ci...»_________________ ٩̾●̮̮̃̾•̃̾۶Promise me you'll try,to leave it all behind'Cause I've elected hell,lying to myselfWhy have I gone blind?Live another lifeYou Breaking Benjamin Keziah Taylor•ADMINISTRATOR The goddamn vampires ass kickerNombre de messages 504Date d'inscription 30/12/2008Heart & SoulLinks Job Chasseur de vampiresSelf Control 16/20Sujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Lun 12 Jan - 2338 Cesser mon petit discours? Non il était hors de question que je cesse quoi que ce soit. Après tout, c'était de sa faute si nous en étions là. Elle avait cas me dire dés le départ qu'elle était un vampire et on aurait éviter de sympathiser, mieux, j'aurais évité de l'embrasser. Franchement, qu'est ce qui m'avais pris de l'embrasser alors que dans le fond, je savais très bien ce qu'elle était?! J'étais stupide parfois. A croire que j'aimais tenter le diable. Dans le fond c'était peut être le cas, c'est possible que j'aimais jouer avec le feu mais bien sûr inconsciement. J'allais donc répondre quelque chose à Kaelyn puis ensuite, j'avais bien l'intention de me mettre sérieusement au travail afin d'essayer de la tuer. Pourquoi essayer? C'est simple je y arriverais. De toute manière, je n'avais pas eu beaucoup de mal à tuer des vampires ces trois dernières années. Disons ceux qui me posais le plus de problème, c'était les vampires carnivores et Kaelyn était, de toute évidence, un vampire végétarien. Bref, j'allais donc répondre mais je n'en eu pas vraiment le temps. En effet, un vampire, qu'est ce que je dis, trois vampires arrivèrent, ils couraient après une jeune femme. C'est alors que deux de ces vampires m'attrapèrent, ils me mirent au sol et ils allaient surement boire mon sang d'ailleurs. En tout cas c'est ce que font les vampires logiquement et ceux là n'avaient rien des vampires végétariens que j'avais pû rencontrer durant ma carrière. Bon cette fois c'est sûr, j'allais y passer. Du moins c'est ce que je croyais. D'ailleurs, je commençais presque à me faire à cette idée. J'aurais pu faire quelque chose pour me défendre mais je n'avais qu'un misérable couteau sur moi et ils étaient deux vampires. Il fallait être honnête, j'allais mourir. Qu'est ce qui m'avais pris de ne pas sortir sans mon matèriel?! Bonne question hein. Pour le premier soir où j'avais décidé d'être un humain normal, il avait fallut que j'embrasse la première fille que je croire, qui se trouve être un vampire et maintenant j'allais sans doute finir en steack pour deux vampires aussi ideux l'un comme l'autre. Qui a dit que les vampires étaient beaux?! Croyez moi, ces deux vampires n'avaient rien de beau, loin de là. Je finis quand même par sortir mon couteau et blessais l'un d'entre eux au cou. Cependant, il fit un grognement et m'arrachais le couteau. Bon cette fois, j'étais meurs!Quoi que? C'est vrai, il me restait peut être encore un espoir et cet espoir c'était Kaelyn. Où était elle passé d'ailleurs?! Soudain, je la vis au dessus de moi, elle se tenait au dessus des deux vampires. Vu la tête qu'elle faisait, je n'étais plus soudain sur qu'elle allait me sauver. En même temps j'avais voulu la tuer alors. Et puis c'était un vampire alors je ne vois pas pourquoi elle me sauverait, elle était un monstre, il ne faut pas l'oublier. De plus, le sourire qu'elle me tendait ne présageait rien de bon, rien de bon du tout. Pourtant, elle finit par sortir une épée de sa veste et elle arracha la tête des deux vampires. Du sang gicla sur moi et je fis une grimace de dégout. Beark! Je me suis alors redressé, tant bien que mal et j'ai ensuite vu Kaelyn prêt de la jeune femme. Je suis donc arrivé en courant. Bah oui, j'avais peur qu'elle la mange. Ce n'est pas parce qu'elle m'avait sauvé la vie que ça faisait d'elle une gentille si? Je poussais un léger soupire en arrivant devant les deux jeunes femmes, apparemment, elle était en train de la réconforter et non de la manger. Je me suis alors tourné vers la jeune femme."Tu devrais rentré maintenant. Tout va bien, rassure toi."La jeune femme nous a alors remercié tous les deux et est partit en direction d'une rue plus éclairée que celle-ci. Elle semblait vraiment pas bien. C'était logique dans un sens. Je me suis alors tourné vers Kaelyn et lui ais lancé un regard plein de colère. "Je n'avais pas besoin de ton aide."Oui, je sais très bien ce que vous pensez, ce n'est pas vrai. Il est évident que j'avais eu besoin de son aide et que sans elle, je serais sans doute mort à l'heure qu'il est. Au pire, je serais un vampire. Bref, je ne pouvais tout de même pas lui avouer ceci. Et ma fierté?! Je tournais alors pour rammasser et me rendis compte que j'avais du sang de la jeune femme sur moi. Je me suis tourné vers Kaelyn et ais fais un léger sourire."Tout ce sang doit vraiment te tenter n'est ce pas?!" dis je d'un ton complètement moqueur. Après avoir rammassé mon couteau, je me suis approché de Kaelyn et je l'ais regardé dans les yeux. "Ne repense jamais à ce baiser et oublie moi. Hum au fait, la prochaine fois que je te croise, je te turais sans aucuns remords!"Bah oui, je ne pouvais quand même pas la tuer maintenant. Après tout, elle venait de me sauver la vie. Si je l'avais tué, j'aurais sans doute beaucoup culpabilisé. Il faut être honnête, je lui devais la vie. Après avoir remis mon couteau dans ma poche, je prennnais à mon tour la direction de la grande rue afin de retrouver ma voiture et de rentrer chez moi. FIN_________________ Ma vengeance est perdue s'il ignoreen mourant que c'est moi qui le tue. Contenu sponsoriséSujet Re Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Toute vérité n'est pas bonne à dire PV Kaylen Page 1 sur 1 Sujets similaires» La recherche de la vérité est parfois plus difficile que celle du bonheur. KaylinPermission de ce forumVous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum This is an old storySauter vers
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